DIMANCHE 10 NOVEMBRE 2013

LES BOUCLES DE LA JUINE

LARDY (91)

Résumé :

*       Ce matin, le terrain devrait être bien détrempé car il n’a pas arrêté de pleuvoir de la nuit. Nous arrivons sur le parking et j’aperçois Phil et Pascal déjà sur le parcours. Roland et Christian sont les deux autres volontaires pour ce matin. Une première bizarrerie se présente avec des rubalises au niveau des escaliers mais pas de flèches pour y aller. Ensuite, au carrefour, nous cherchons la suite du parcours. J’en déduis que le tracé passe par la gare de LARDY-PATE, mais la première flèche est mal positionnée. Nous voilà dans le bois avec une première côte ravinée qui ne se passe pas trop male. Ce qui n’est pas le cas de la seconde. En effet après avoir fait une tour de roue au contact du caillou, je mets le pied à terre. Et dans la foulée, n’ayant pas d’adhérence sous les chaussures, je me retrouve les quatre fers en l’air. Même en sous bois les portions boueuses sont nombreuses sur la partie surplombant LARDY sous la pluie. Sur les dessus de CHAMARANDE, nous sortons du bois par un sillon boueux. C’est au carrefour que la confusion règne. Une trentaine de vététistes égarés qui cherche leur chemin. Ne connaissant qu’une méthode, je dégaine mon GSM. Suite au troisième appel, nous reprenons la direction de GILLEVOISIN en prenant une partie goudronnée dans la descente. Depuis le départ, à la vitesse à la quelle on roule, les escargots ne devraient pas tarder à nous dépasser. Nous venons de passer la Juine et la pluie s’est arrêtée de tomber, faisant place au soleil lors de notre arrivée au ravito. Ayant pris l’option 45 kilomètres avec Roland, nous sommes reparti pour un terrain légèrement moins détrempé mais sablonneux mouillé, ce qui n’est pas mieux. Le deuxième ravito nous attend à D’HUISON-LONGUEVILLE, le mauvais temps aussi. Lorsqu’on lève la tête, on aperçoit un gros nuage noir au dessus du parcours restant à faire. Le temps d’enfiler la collation, le vent a fait le ménage. Mais vent de face pour rentrer, ça n’aide pas. J’ai les vitesses qui ne veulent plus passer m’obligeant à monter les côtes à pied. Je laisse Roland s’enfuir vers l’arrivée. Je passe la dernière descente rocailleuse, la plus dangereuse du parcours, sans embûche. La vue des habitations me motive. Il est 13h00, lorsque je bois le vin chaud autant crevé que si j’avais fait 60 kilomètres.      

Parcours :

*      Le parcours fait 46.7 avec deux ravitos aux kilomètres 19.6 et 33.

Conditions de route :

*      Le thermomètre affiche 7 degrés, pluie et vent, terrain détrempé.

Evènements survenus :

*      Aucun incident à signaler

Légende : Parcours ----- Erreur de parcours -----  Incidents . Ravitaillements .