Résumé :
Ce soir, il pleut, mais 3 mordus m’accompagnent. Eric, Fred
et Roland sont présents à la nocturne
de BOIS-LE-ROI. Le parcours se fait à l’envers des années précédentes. Et
c’est tant mieux car le single sera moins encombré. Roland s’est arrêté pour
allumer son GPS. Pour commencer, une belle mare d’eau après 100 mètres nous envoie
sur un chemin détrempé. Fred ouvre la route et je profite d’une portion un
peu plus grasse pour passer devant. Nous retrouvons Hommer
et son copain qui se trainent bien qu’ils trouvent qu’ils roulent plus vite
de nuit. Il profite d’un léger faux-plat pour repasser devant puis c’est le
tour de mes camarades de passer devant. En y regardant de plus près, je comprends
pourquoi j’ai du mal à relancer, car je suis resté sur la plaque. Ce qui fait
que je me suis laissé distancer. J’ai beau apercevoir les feux rouges et me
rapprocher, je n’arrive pas à les rattraper. Surtout que l’espace s’allonge
lors des traversées de routes. Au bas de la côte qui mène à la Tour de Denecourt se trouve le ravito. On n’abuse pas du
saucisson ni du gruyère car la portion la plus dure nous attend. Eric et Fred
s’échappent. Je reste avec Roland pour passer la Butte au guay
puis le rocher Cassepot. Mais Roland reste collé
dans cette dernière difficulté. Me voilà donc tout seul. Je suis rattrapé par
un participant qui préfère rester derrière. Puis il décide de passer devant
pour me relayer. Mais au bout d’un kilomètre, je repasse devant sans jamais
le revoir passer. J’arrive un peu vite sur un tronçon descendant qui est
formé par une rigole détrempée. La seule manière de ne pas se faire éjecter
est de laisser le vélo choisir son chemin et surtout lâcher les freins. Au
bout de l’allée, j’aperçois les lumières de la ville qui annoncent la fin de
la rando. La soupe à l’oignon et le sandwich sont les bienvenus.
Parcours :
Le parcours fait 30.9 kilomètres.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche 9
degrés, demi-lune et ciel dégagé, terrain détrempé.
Evènements survenus :
Aucun incident à
signaler.
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