DIMANCHE 03 NOVEMBRE 2013

SORTIE CLUB

BONDOUFLE (91)

Résumé :

*       Ce matin, j’arrive en retard au rendez-vous dominical. Fred, Christian, Michel et Roland m’attendent. Mon garde-boue tout neuf qui fait contraste avec le reste est le sujet de la discussion. Il n’y a pas de parcours bien précis. Alors, Fred lance l’idée d’aller faire un tour tranquille dans Sénart. Christian nous fait remarquer que dans l’alphabet de la facilité, nous ne sommes pas encore arrivé à la lettre « T ». Nous voilà parti vers l’est et le premier obstacle survient lorsque nous sommes face aux animaux du cirque. La traversée du bois de la garenne nous amène sur la piste qui longe la RN 446. nous sommes rejoint par nos camarades du club de FLEURY-MEROGIS à l’entrée du parc de Coquibus. Il nous accompagnent jusqu’au feu de la clinique du Mousseau. La grande descente est favorable aux poids lourds pour battre des records de vitesse. Une fois la Seine traversée, il faut remonter la côte de SOISY-SUR-SEINE. Nous rentrons dans la forêt de Sénart au niveau du Golf. Le chemin est humide mais roulant jusqu’à ce que je reste planté dans la boue. Ce n’est pas évident de sortir la roue avant ventousée tout comme les chaussures. Roland nous guide sur les pistes cyclables. Enfin presque, car au contact avec la RN6, il faut reprendre un tronçon en sous bois qui nous ramène sur la piste. Nous voilà reparti pour faire le tour de Sénart. Au carrefour de Chalandray, je suis face à un cycliste qui roule du mauvais côté et qui n’en bouge pas. A croire que le chemin est à lui. Nous faisons une pause au chêne d’Antin. La prise de photo à l’intérieur du tronc intrigue quelques usagers de la forêt. A CHAMPROSAY, nous plongeons vers la Seine que nous allons longer jusqu’à l’Ecluse de SOISY-SUR-SEINE. Il y a des remous sous nos pieds. Nous reprenons l’autre rive jusqu’à la gare de Grand-Bourg. Mais il faut remonter sur le plateau. Mais au niveau du Haras, tout se complique lorsque nous arrivons derrière « Le républicain ». La flore s’épaissit et laisse juste le passage d’une roue que nous suivons. Et tout à coup, il n’y a plus rien. « Il faut viser le lampadaire ! ». mais pour y arriver, il faut se frayer un chemin parmi les ronces. Ceux qui sont en cuissard comprennent leur galère. Ouf, nous voici sur le parking de Delbard. La jardinerie étant abandonnée, nous tombons sur le chien de garde de l’agent de sécurité. Une chance pour nous il est enchaîné à la grille. Nous prenons la piste qui longe l’écoute s’il pleut qui nous ramène à RIS-ORANGIS. La tour Eiffel a été rasée pour laisser place à une nouvelle construction, et l’architecte s’est lâché en greffant une pièce de l’appartement sur la paroi du HLM.  Nous laissons Michel au niveau de l’aqueduc. Christian crève de la roue avant juste à l’entrée du Bois de Saint-Eutrope. Le temps de réparer, Roland et Fred sont rentrés chacun de leur côté. C’est face au vent que je rentre à la maison.                

Parcours :

*      Le parcours fait 40.8 kilomètres.

Conditions de route :

*      Le thermomètre affiche 14 degrés, ciel bleu nuageux, terrain roulant.

Evènements survenus :

*      Kilomètre 12, planté dans la boue pour Loulou.

*      Kilomètre 36, crevaison pour Christian.

Légende : Parcours -----  Incidents. Ravitaillements .