Résumé :
Ce matin, j’arrive en retard au rendez-vous dominical. Fred,
Christian, Michel et Roland m’attendent. Mon garde-boue tout neuf qui fait
contraste avec le reste est le sujet de la discussion. Il n’y a pas de
parcours bien précis. Alors, Fred lance l’idée d’aller faire un tour tranquille
dans Sénart. Christian nous fait remarquer que dans l’alphabet de la facilité,
nous ne sommes pas encore arrivé à la lettre « T ». Nous voilà
parti vers l’est et le premier obstacle survient lorsque nous sommes face aux
animaux du cirque. La traversée du bois de la garenne nous amène sur la piste
qui longe la RN 446. nous sommes rejoint par nos camarades du club de
FLEURY-MEROGIS à l’entrée du parc de Coquibus. Il nous
accompagnent jusqu’au feu de la clinique du Mousseau. La grande descente est
favorable aux poids lourds pour battre des records de vitesse. Une fois la
Seine traversée, il faut remonter la côte de SOISY-SUR-SEINE. Nous rentrons
dans la forêt de Sénart au niveau du Golf. Le chemin est humide mais roulant
jusqu’à ce que je reste planté dans la boue. Ce n’est pas évident de sortir la
roue avant ventousée tout comme les chaussures. Roland nous guide sur les
pistes cyclables. Enfin presque, car au contact avec la RN6, il faut
reprendre un tronçon en sous bois qui nous ramène sur la piste. Nous voilà
reparti pour faire le tour de Sénart. Au carrefour de Chalandray,
je suis face à un cycliste qui roule du mauvais côté et qui n’en bouge pas. A
croire que le chemin est à lui. Nous faisons une
pause au chêne d’Antin. La prise de photo à l’intérieur du tronc intrigue
quelques usagers de la forêt. A CHAMPROSAY, nous plongeons vers la Seine que
nous allons longer jusqu’à l’Ecluse de SOISY-SUR-SEINE. Il y a des remous sous
nos pieds. Nous reprenons l’autre rive jusqu’à la gare de Grand-Bourg. Mais il
faut remonter sur le plateau. Mais au niveau du Haras, tout se complique
lorsque nous arrivons derrière « Le républicain ». La flore s’épaissit
et laisse juste le passage d’une roue que nous suivons. Et tout à coup, il n’y
a plus rien. « Il faut viser le lampadaire ! ». mais pour y
arriver, il faut se frayer un chemin parmi les ronces. Ceux qui sont en cuissard
comprennent leur galère. Ouf, nous voici sur le parking de Delbard. La jardinerie étant abandonnée, nous tombons sur
le chien de garde de l’agent de sécurité. Une chance pour nous il est enchaîné
à la grille. Nous prenons la piste qui longe l’écoute s’il pleut qui nous
ramène à RIS-ORANGIS. La tour Eiffel a été rasée pour laisser place à une
nouvelle construction, et l’architecte s’est lâché en greffant une pièce de l’appartement
sur la paroi du HLM. Nous laissons
Michel au niveau de l’aqueduc. Christian crève de la roue avant juste à l’entrée
du Bois de Saint-Eutrope. Le temps de réparer,
Roland et Fred sont rentrés chacun de leur côté. C’est face au vent que je
rentre à la maison.
Parcours :
Le parcours fait 40.8 kilomètres.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
14 degrés, ciel bleu nuageux, terrain roulant.
Evènements survenus :
Kilomètre 12, planté
dans la boue pour Loulou.
Kilomètre 36, crevaison
pour Christian.
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