Résumé :
Ce matin, cinq volontaires pour aller à YERRES. Roland, Eric
et moi-même sur le 60 km
et Kiki et Christian sur le parcours
de 40 km.
J’aurais du mettre mes lunettes car j’était parti sur le
« découverte » de 10 kilomètres, je ne me serait pas trompé de
fléchage. Croyant suivre les bonnes couleurs, je me fais remettre sur le bon
parcours. Voilà déjà 1
kilomètre de TVA. Au sommet du raidillon du Pont
Paris, je retrouve Kiki et Christian. Pas le temps de discuter car je dois
rattraper mes deux autres camarades. Le photographe, n’a même pas le temps de
prendre le cliché. Le long de l’Yerres, après la station BP, nous avons droit
à un single fraîchement tracé. Je suis remonté sur le plateau et comme c’est
roulant, ça ne traîne pas. Mais là c’est inquiétant car généralement au bout
de 10 kilomètres,
je les retrouve. Là personne !!! la traversée de la RN6 annonce une
partie de jeu dans la forêt de Sénart. Une partie herbeuse, puis sablonneuse
et enfin des trous histoire de s’amuser. Puis là je prends le train le long
de SOISY-SUR-SEINE derrière un petit groupe qui se traîne entre 12 et 15km/h
sous la ligne à haute tension. A la mare aux loups, le chemin s’élargit, j’en profite pour doubler. Puis
c’est déjà le ravito. Je repars derrière un gars
qui ne s’est même pas arrêté. Et au bout d’un kilomètre, s’en prévenir, v’la t’i pas s’arrête sans prévenir en jetant son vélo
dans les ronces. C’est lorsqu’il m’a redoublé que j’ai compris qu’il avait
perdu son compteur. N’arrivant pas à rattraper mes camarades, je me mets en
mode « régularité ». De toute manière, ce n’est plus la peine de
courir. Une fois passé l’ancienne
maison forestière de Gland, je me fais surprendre par le flash du
photographe embusqué au pied du talus. Au stade du Gord, la partie Sénart est
terminée et s’est la balade au fil de l’Yerres. Dans la côte de Rochpepot, j’efface les 29 pouces à
la peine. A PERIGNY, changement radical des tracés habituels. Je trouve un
compagnon de route qui trouve que mon VTT n’est pas tout jeune. Trompé par la
boue, il est très surpris en apprenant qu’il n’a que 2 mois et demi. C’est
déjà le deuxième ravito toujours animé par les
filles souriantes. Il reste environ 15 kilomètres, mais
au domaine du Réveillon, des plaisantins ont désorienté la pancarte au niveau
du stade. Je ne suis pas le seul à m’être trompé. Mais arrivé dans la zone
pavillonnaire, il préfère faire demi-tour. Je récupère le tracé à la ligne
TGV enterrée. C’est le moment de répit avant le contournement du Château de
La Grange puis le Mont Griffon. Je choisi la version « difficile »
pour la descente. Trajectoire avec virage surélevé et descente abrupte. Un
régal !. Après à peine 4h00 de roulade
solitaire, je retrouve enfin l’arrivée avec la bière pression bien méritée et
savourée. Je suis le dernier car les voitures des copains ne sont plus sur le
parking.
Parcours :
Le parcours fait 60.5 kilomètres avec
deux ravitos aux kilomètres 24 et 45.5.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
14 degrés, ciel blanc, terrain trempé mais roulant.
Evènements survenus :
Kilomètre 0.5, erreur de
parcours
Kilomètre 48.8, erreur
de parcours.
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