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Résumé :
Ce matin, c’est le grand jour je vais inaugurer mon nouveau
VTT, un Rockrider 8.0. Normalement je devais partir
de la maison avec Mehdi mais une mauvaise nuit le cloue au lit. Il est donc
8h05, lorsque je retrouve Jean-Mi au bord de la route. Et oui vous l’avez
compris, nous sommes en vacances et c’est la Vendée qui va défiler
sous nos crampons. Un tour rapide de la bête (de compétition) et nous voilà
partis vers le sud. La position de pilotage est différente du 5.3 avec une
position plus assise, un guidon plus large et un freinage hydraulique qui
finalement me plait bien. A voir en usage intensif ce que ça donne. Comme le
dénivelé est proche du plat, je ne peux pas jouer avec les rapports (22X32X42
et 11à34). Par contre nervosité, il est un poil en dessous du 5.3. La selle
est un peu dure mais il faut que le cul s’y fasse. Nous voilà déjà à
SAINT-GILLES-CROIX-DE-VIE ou nous faisons une pause attirée par un goéland se
débattant avec un poisson. Qui finalement va tomber à l’eau interrompant son
festin et notre pause par la même occasion. Nous continuons toujours vers le
sud. Jusqu’à LA SAUZAIE
lieu de pause favori pour Jean-Mi. Il ne nous reste plus qu’à nous rendre en
ville pour récupérer le tampon VI. C’est l’office du tourisme qui appose son
cachet. Nous profitons de cet arrêt pour nous inscrire à une randonnée
touristique de 21km/4h qui aura lieu le 18 juillet, ici même. Jean-Mi veux
rentrer par la corniche alors direction la Normandelière
pour se positionner au début de la piste. Et c’est parti jusqu’à LA SAUZAIE. Puis je prends les
rênes et impose une vitesse oscillant entre 23 et 25 km/h. arrivés à
GIVRAND, j’entends un soupir qui m’indique que Jean-Mi réclame une pause.
Partie de rigolade lorsque j’indique qu’on v tourner après le camping pour
récupérer la piste bitume. En effet, nous empruntons un chemin un peu moins
roulant. A la hauteur du Leclerc, nous nous laissons tenter par un chemin qui
repasse sous la route puis se termine sur un tronçon en herbe derrière les
maisons. Finalement au Cinémarine, nous reprenons
la piste. A la saline, nous faisons une pause car Jean-Mi se plaint de
crampes aux orteils. L’heure tourne et nous prenons le chemin le plus court
et le plus rapide pour rentrer au camping. Je constate la réflexion que
Jean-Mi a émis peu de temps avant. Lorsqu’on double des vélos, on accélère
longtemps avant de les dépasser. Une escale par la boulangerie avant de se
désaltérer. 13h00 il faut que j’y aille car y en a qu’on faim à la maison.
Vent de face, les 6kilomètres sont abattus en 14 minutes.
Parcours :
Le parcours fait 61.6 kilomètres.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche 24
degrés, ciel bleu, terrain roulant.
Evènements survenus :
Aucun incident à
signaler.
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