Résumé :
Ce matin, c’est à LEUDEVILLE que nous avons rendez-vous.
Michel et Eric m’accompagnent depuis BONDOUFLE à VTT. Nous retrouvons Guen aux inscriptions. Enfin avant, on a quand même fait
un peu de rab car le groupe que je suivais n’a pas vu l’entrée. Et c’est 1 kilomètre
supplémentaire, qui nous fait qu’il y a déjà 10 kilomètres avant
de s’élancer. Le temps que j’avale mon chocolat, je me retrouve tout seul.
Comme c’est tout plat, l’herbe ne se fait pas fière sous les crampons. Dans
la forêt de SAINT-VRAIN, je retrouve Guen qui
resserre la fixation de son garde-boue. Puis juste à l’entrée du souterrain,
au bout de 7
kilomètres de chasse, je récupère Michel et Eric qui
viennent de retirer une couche vestimentaire. Eric me dit que Michel a perdu
un boulon sur une de ses manettes. Eric et Moi, nous voilà dans la forêt de Cheptainville et les difficultés commencent avec la
montée vers le col du rendez-vous de chasse en longeant l’enceinte de Renault
Lardy. Puis retour vers le bas de la forêt pour la
traversée de la route à mi côte. Juste au moment de remonter sur le plateau,
je suis victime d’un saut de chaîne. Le temps de remettre la machine en
route, je rattrape le groupe à la bifurcation 20/40-60. mais comme je n’ai
pas regardé les flèches, nous voilà parti pour 1 kilomètres à
l’aventure jusqu’à la RD99. Malgré la présence d’une rubalise
de la semaine dernière, nous ne sommes vraiment pas sur le tracé, alors le
demi-tour s’impose. Je me fais un festival de franchissement de flaques.
Finalement, nous avons fait 2 kilomètres de rab. Et à la carrière, nous
rattrapons Guen qui n’a pas vu Michel. Une petite
frayeur juste avant d’arrivée au tunnel de LARDY. Après avoir testé la devise
de ballancourt « si tu freines,… », je
prend l’ornière de gauche avec une fin hasardeuse, mais plus problématique
pour Eric qui joue au taille haie. Le soleil est avec nous, pour une fois.
Bon, ce n’est pas tout, mais il faut de nouveau remonter dans le bois.
L’organisateur nous a réservé une entrée en matière avant la côte à 30%, noté
comme difficile sur le panneau optionnel. Lorsque nous retrouvons le tracé
facile, je m’aperçois qu’il n’y en a pas beaucoup qui nous ont suivi. Il ne
reste plus que la descente de rondins avant d’arriver au ravito
et retrouvé Guen qui a ripé sur la première
traverse de bois. Guen nous laisse en partant sur
le 40. Eric s’envole sur le 60, je n’ai même pas eu le temps d’apercevoir ses
talons. Et en plus, ça monte jusqu’à la ferme de La grange des bois. Une boucle de 4 kilomètres nous
emmène jusqu’à AUVERS-SAINT-GEORGES avant de nous ramener à la bifurcation
précédemment passée. Il n’y a pas foule suer le parcours. J’en profite pour
doubler le président de l’Yvette dans la descente un peu rocailleuse. Le Gps en profite pour se décrocher, une chance il est
retenu par la ficelle. Juste après l’Ermitage, je trouve Roland qui vient de
s’arrêter. En fait, il en est à son deuxième éclatement depuis ce matin. Il y
a une belle déchirure de 5 cm
sur le pneu. Alors, il va falloir trouver une solution qui tienne car on
n’est pas rendu. Un morceau de pneu à l’intérieur renforcé par deux colliers
plastiques, ça devrait aller. Le gonflage est léger qui provoque de beau
ripage. De nouveau au ravito, la réparation suscite
la curiosité. On se contentera de quelques carrés de chocolat et une boisson
avant de repartir. Mais voilà, il y a la côte du ravin de Longuenoue
qui ne réussi pas à Roland. Au sommet, le voit arrivé avec la chaîne entre
les dents. Elle a cédé sous l’effort. Malgré s’être écarté du bois, les
moustiques se régalent pendant la réparation. C’est à une allure de sénateur
que nous terminons le parcours fléché dans le bois de CHEPTAINVILLE bien détrempé.
A MAROLLES, il faut remettre un collier car la déchirure s’amplifie. Au feu
rouge de LEUDEVILLE, j’entends un « pan », je me retourne et
j’entends Roland qui revendique le coup de feu. 36 kilomètres et
pas un de plus avec une réparation de fortune qui lâche à 100 mètres de
l’arrivée. Finalement Roland demande à ce qu’on vienne le chercher car il ne
peut plus rentrer chez lui sur sa monture. Avec tout ça, il est déjà 13h30 et
il faut encore que je rentre avec le vent dans le nez jusqu’à BONDOUFLE.
Parcours :
Le parcours fait 60.2 kilomètres
avec deux ravitos aux kilomètres 21.4 et 39.6.
Le parcours de liaison
fait 10 kilomètres
à l’aller et 9 au retour 19 au total
Le cumul des distances
affiche 79.2
kilomètres pour 959 mètres de
dénivelée.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
12 degrés, ciel bleu chemins roulants avec portions boueuses.
Evènements survenus :
Kilomètre 3.7,
resserrage garde boue pour Guen
Kilomètre 10.2, saut de
chaîne Loulou
Kilomètre 21, chute de Guen
Kilomètre 34, éclatement
pneu arrière Roland
Kilomètre 40.5, casse
chaîne Roland
Kilomètre 58.3,
amplification de la déchirure du pneu arrière pour Roland
Kilomètre 60.2,
éclatement pneu arrière Roland.
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