Résumé :
Ce matin, -1° au
thermomètre, obligé de gratter le pare-brise pour aller à BOUTIGNY. Eric et Roland
sont du voyage et on retrouve les deux P aux inscriptions. La même distance
pour tous. Nous voilà donc partis sur le 55. Je suis avec Eric car Roland a
pris un peu d’avance. Au pied de la première bosse, je me retrouve tout seul,
laissant Eric s’envoler au sommet. Dans la carrière, même la biche, surprise
par le passage des vététistes, est plus agile que nos deux roues
cornées. Je retrouve Philippe, un peu
égaré, qui joue dans le calcaire. Cette année, nous ne prenons pas de plomb
sur la tête au passage du Ball-trap. Je profite de la descente du cimetière
pour rattraper le temps perdu un peu plus tôt dans les rochers. Même en
pédalant fort, je peine à dépasser des participants en position de l’œuf.
Kilomètre 20, j’aperçois Roland, mais il y a la côte pierreuse à avaler puis
le sable. Finalement le ravito, sera l’occasion de
nous regrouper. Mais profitant que je discute, Roland est reparti. Me revoilà
de nouveau seul pour la portion roulante. Le deuxième ravito
est déjà là. Roland est prêt à repartir. Il a mangé du lion ce matin. Mais
voilà nous sommes dans la portion la plus dure de la matinée. Après la côte,
c’est le toboggan qui nous amène sur la portion sablonneuse. Du bois de malabri. Une dernière descente pour revenir dans la
vallée. Mais les habitués le savent bien, il fallait en garder un peu car il
reste quelques côtes avant l’arrivée. Là je retrouve Roland avec le sandwich
entre les dents. Tout au long du parcours, je n’ai pas arrêté d’entendre les
mêmes remarques. « Alors ! pas encore lavé le
décathlon ? » « finalement, la peinture est protégée » et
ce n’est pas le tuyau disponible à l’arrivée qui m’attiré.
Parcours :
Le parcours fait 55.2 kilomètres
avec deux ravitos aux kilomètres 23.2 et 33.7.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
-1 degré, ciel bleu, chemins roulants.
Evènements survenus :
Aucun incident à
signaler.
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