Résumé :
Ce matin, tout commence
de bonne heure avec la préparation du site de départ pour la randonnée de Retrouvailles
à ORMOY. Mais avant d’y arriver, il faut faire attention sur la route car la
neige est tombée dans la nuit. 1
cm recouvre le bitume. Ensuite, il faut enregistrer
les inscriptions des vététistes. 174 bulletins sont comptabilisés auquel il
faut ajouter 1 cyclo qui a osé s’aventurer sur les
routes. 9h45 je quitte le Codep pour me rendre à Noisement pour vérifier un problème de fléchage.
Je suis prêt à
enfourcher mon VTT, lorsqu’au bout du chemin, j’aperçois un groupe de
vététistes alors j’attends un peu. La meilleure manière de vérifier si un
parcours est bien balisé est de suivre les participants. Nous arrivons au
fameux point noir que d’autres nous ont rapporté. Et là aucun souci, la
flèche est présente sur la barrière, et elle indique bien qu’il faut tourner
à droite. Je pense que certains participants ont confondu traces de pneus et
tracés du parcours car sinon, ils auraient tous fait la même remarque et mon
Gsm n’aurait pas cessé de sonner. On continue sur le parcours, et le
téléphone retentit. C’est encore un participant qui se plaint qu’à l’endroit
où nous venons de passé, il y a un problème de balisage. Je me fais rattrapé
par d’autres participants. Mais le Gsm n’arrête pas de sonner jusqu’à ce que
j’arrive au ravito. La même remarque me revient aux
oreilles. J’en arrive à cette conclusion. « Le Gps
dans les voitures abétifie l’être humain et le rend incapable de suivre une
route en lisant les panneaux ». Après un petit encas, je repars sur ma
vérification du parcours. Au moment de quitter, le chemin du fourneau du
Buisson, je repositionne une flèche qui a fait un quart de tour et a envoyé
quelques participants sur le mauvais chemin. Me voilà à la barrière, je
retrouve Patrick et ses copains du team Ballancourt
qui reviennent d’une sortie club. Et c’est parti pour la décoration du guidon
à l’aide des rubans. La vanne m’emmène jusqu’au PR. Là je rencontre des
chasseurs bredouilles qui me félicite de retirer le balisage. Le chemin est
complètement dégelé et l’ornière m’éjecte juste avant la barrière. Pas de
séquelles, mis à part un échauffement au front suite au contact du casque sur
dans l’herbe. J’en profite pour
transvaser les morceaux de rubalise et les panneaux
dans le sac à dos. La traversée des grands Avaux
est relativement rapide. Le ravito a levé le camp.
Il ne me reste plus qu’à rentrer par le chemin le plus rapide et pas
forcément le plus court pour retourner à la voiture. Donc c’est par la voie
pavée de LOUTEVILLE puis la piste cyclable que j’arrive à l’église de
CHAMPCUEIL. Il ne me reste plus que la côte de Noisement.
Le vélo est chargé, il
ne reste plus qu’une dernière portion à débaliser.
C’est celle qui va du rond point de CHEVANNES à la ferme des Messis. Sur la dernière portion, j’ai la flemme de
décrocher le vélo avec la neige qui tombe à gros flocons mêlée au vent. Alors
c’est en voiture que j’emprunte le chemin de terre.
Parcours :
Le parcours fait 17 kilomètres.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
-2 degrés, ciel blanc, chemins gelés mais roulants, vent et floconades intermittentes.
Evènements survenus :
Kilomètre 10.2, chute de
Loulou.
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