DIMANCHE 02 SEPTEMBRE 2012

LA VERTE BALLANCOURTOISE

BALLANCOURT (91)

Résumé :

*      « Mais pourquoi le réveil sonne-t-il un dimanche ». Mais c’est vrai, y  a VTT ce matin. Pas le temps de passer par le lieu de rendez-vous. De toutes les manières, tout le monde est encore en vacances. Kiki et Jean-Mi ont choisi de faire de la route. Donc sans trainer, je m’inscris à la verte ballancourtoise. 8h17 lorsque je m’élance seul pour 70 km et 1500m de dénivelé. On n’a pas le temps de s’échauffer que nous sommes déjà dans le vif du sujet identifié par un panneau «pas de télésiège». Il n’y a que de la partie technique avant d’arriver dans la deuxième partie représentée par un autre panneau «pas de téléphérique». En fait on traverse une zone aménagée pour le Free-ride. L’organisateur a exploité le premier massif pendant 6 km. On se serait cru à la montagne. Vivement une ligne droite pour récupérer. Ça roule beaucoup mieux maintenant, mais il faut prendre son ticket car les parcours sont communs lorsque la difficulté disparaît. A MONDEVILLE, j’avais repéré sur le site que la ravito nous attendait. Finalement rien il va falloir attendre encore un peu. Juste avant la fosse au berceau, je ne sais pas pourquoi, j’ai voulu rouler en dehors de l’ornière. Ça a été radical. J’ai juste eu le temps d’enlever ma main du guidon avant qu’il ne soit happé par l’arbre. C’est le même qui m’a cogné l’épaule pour me désarçonner. Au résultat, une douleur à l’épaule, l’élastique du sac déchiré, mais je n’ai rien perdu. Aux wagonnets, c’est le départ pour le train fantôme. Juste avant Le Rotelut, voilà enfin le ravito. Le gâteau de semoule au rhum raisins est le bien venu. Je me laisse tenter par une deuxième part. l’arrivée sur VIDELLES se fait à grand vitesse. Puis à la bifurcation, plus personne devant mais le plus inquiétant, c’est que je n’ai pas de poursuivant. Normal, vu l’heure. Que des grandes lignes droites avec un peu de sables. Au point de non retour, je croise des participants de l’autre rando de la matinée, l’oncéenne. Quelques portions sont défléchées, mais avec le tracé dans le GPS, je n’ai aucun souci. Je prends une deuxième ration de semoule au ravito de VIDELLES avant d’attaquer la platière. Après le Saut du Postillon, vient le secteur « PARIS-ROUBAIX ». Le vrai à côté, c’est du soft. Le troisième ravito est plus près, mais il n’y a plus de semoule, dommage !.  voilà une descente dans laquelle je n’applique pas la devise du club organisateur. « si tu freines, tu es un lâche ». en effet même les freins bloqué, le VTT descend toujours. 60km au compteur, je décide de raboter le parcours. en supprimant le tronçon derrière l’hôpital de CHAMPCUEIL. Puis vient un secteur que je ne connaissais pas. Le surplomb de la carrière suivi d’une dernière descente avant d’apercevoir le stade. Il est 14h05, et là encore j’écourte pour rejoindre l’arrivée au plus court. au niveau de la carrière et le stade est en vue. La dernière fois que j’avais participé, c’était une « piste verte », mais là c’est du noir foncé.                 

Parcours :

*      Le parcours fait 65 kilomètres avec trois ravitos aux kilomètres 22 et 40 et 56.5.

Conditions de route :

*      Le thermomètre affiche 15 degrés, ciel bleu et terrain roulant et technique.

Evènements survenus :

*      Kilomètre 18, chute de Loulou.

Légende : Parcours ----- Détour----- Incidents .Ravitaillements . Bonne action.