Résumé :
« Mais pourquoi le
réveil sonne-t-il un dimanche ». Mais c’est vrai, y a VTT ce matin. Pas le temps de passer par
le lieu de rendez-vous. De toutes les manières, tout le monde est encore en
vacances. Kiki et Jean-Mi ont choisi de faire de la route. Donc sans
trainer, je m’inscris à la verte ballancourtoise.
8h17 lorsque je m’élance seul pour 70 km et 1500m de dénivelé. On n’a pas le
temps de s’échauffer que nous sommes déjà dans le vif du sujet identifié par
un panneau «pas de télésiège». Il n’y a que de la partie technique avant d’arriver
dans la deuxième partie représentée par un autre panneau «pas de téléphérique».
En fait on traverse une zone aménagée pour le Free-ride. L’organisateur a
exploité le premier massif pendant 6 km. On se serait cru à la montagne. Vivement
une ligne droite pour récupérer. Ça roule beaucoup mieux maintenant, mais il
faut prendre son ticket car les parcours sont communs lorsque la difficulté
disparaît. A MONDEVILLE, j’avais repéré sur le site que la
ravito nous attendait. Finalement rien il va falloir attendre encore un peu. Juste
avant la fosse au berceau, je ne sais pas pourquoi, j’ai voulu rouler en
dehors de l’ornière. Ça a été radical. J’ai juste eu le temps d’enlever ma
main du guidon avant qu’il ne soit happé par l’arbre. C’est le même qui m’a
cogné l’épaule pour me désarçonner. Au résultat, une douleur à l’épaule, l’élastique
du sac déchiré, mais je n’ai rien perdu. Aux wagonnets, c’est le départ pour
le train fantôme. Juste avant Le Rotelut, voilà enfin
le ravito. Le gâteau de semoule au rhum raisins est le bien venu. Je me laisse
tenter par une deuxième part. l’arrivée sur VIDELLES se fait à grand vitesse.
Puis à la bifurcation, plus personne devant mais le plus inquiétant, c’est que
je n’ai pas de poursuivant. Normal, vu l’heure. Que des grandes lignes
droites avec un peu de sables. Au point de non retour, je croise des
participants de l’autre rando de la matinée, l’oncéenne. Quelques portions sont défléchées,
mais avec le tracé dans le GPS, je n’ai aucun souci. Je prends une deuxième
ration de semoule au ravito de VIDELLES avant d’attaquer la platière. Après
le Saut du Postillon, vient le secteur « PARIS-ROUBAIX ». Le vrai à
côté, c’est du soft. Le troisième ravito est plus près, mais il n’y a plus de
semoule, dommage !. voilà une descente dans laquelle je n’applique
pas la devise du club organisateur. « si tu freines, tu es un lâche ».
en effet même les freins bloqué, le VTT descend toujours. 60km au compteur,
je décide de raboter le parcours. en supprimant le tronçon derrière l’hôpital
de CHAMPCUEIL. Puis vient un secteur que je ne connaissais pas. Le surplomb
de la carrière suivi d’une dernière descente avant d’apercevoir le stade. Il
est 14h05, et là encore j’écourte pour rejoindre l’arrivée au plus court. au
niveau de la carrière et le stade est en vue. La dernière fois que j’avais
participé, c’était une « piste verte », mais là c’est du noir
foncé.
Parcours :
Le parcours fait 65 kilomètres avec trois
ravitos aux kilomètres 22 et 40 et 56.5.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche 15
degrés, ciel bleu et terrain roulant et technique.
Evènements survenus :
Kilomètre 18, chute de
Loulou.
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