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Résumé :
 Ce matin, j’arrive au
rendez-vous et je trouve Michel assis qui me dit que ce n’est pas une journée
à faire du vélo tellement il est bien au frais. Juste un impératif impose mon
tracé être à VIRY-CHATILLON pour 11h00. Comme nous ne sommes que deux, ça
devrait être faisable. Direction SENART pour s’amuser un peu. A peine parti
qu’un bruit dans le pédalier donne la cadence. Je m’arrête pour vérifier le serrage
des plateaux. Tout va bien alors on continue mais le bruit persiste.
« tant pis, ça restera comme ça !» Michel découvre des tronçons
qu’il n’avait pas encore sillonnés. La descente vers la seine nous amène sur
la belle piste cyclable d’ETIOLLES qu’il faut laisser à l’IUFM. Evidemment
pour accéder à la Forêt, il faut monter la côte et contourner le golf. A nous
les singles, qui par moment n’ont pas vu de défrichage. Certains sont sur
l’espace de chantiers forestiers qui nous obligent à porter le VTT. Un
souvenir de notre sortie à SAINT-DIZIER. A un croisement, une biche nous
passe devant. Nous nous arrêtons pour l’observer. « Ah non, on a dit
qu’on rentrait propre ! » me dit Michel lorsque je sorti de la
flaque d’eau. On fait le tour du bois jusqu’aux feux de BRUNOY. Il est 10h00,
je décide d’écourter un peu mon idée de parcours une fois avoir traversé la
RN6. Au moment où nous faisons une pause sur le rond point de l’Ermitage, une
deuxième biche nous observe. Sur la dernière partie du sous-bois, j’ai
privilégie un peu plus les allées afin de rouler plus vite. Pas trop non plus
pour éviter l’excès de vitesse sur la route forestière. Quoique maintenant,
c’est une zone30. désolé pour les 14 km/h en trop. Je m’étais fixé une limite
de 10h30 au pont de RIS-ORANGIS, le contrat est rempli. Il ne reste plus qu’à
reprendre le chemin de halage abandonné pour remonter sur VIRY-CHATILLON.
Enfin presque, car une décharge sauvage et débordante me fait douter. Puis
viennent des travaux qui nous dévient dans une usine désaffectée. Evidemment
au bout, il y a un portail qu’il faut enjamber. Le tour du lac nous amène à la piscine. Les
copains de Michel l’attendent. La côte du lavoir est la rampe d’accès pour
retrouver la piste de l’aqueduc. Je laisse Michel au Moulin. Comme j’ai un
peu d’avance sur l’horaire, je décide d’aller jouer dans le bois de Saint-Eutrope. Mais la nature ayant repris ses droits, certains
chemins ont disparus. La hauteur des herbes modifiant mes souvenirs, j’ai un
peu du mal à m’y retrouver. Il va falloir que je retourne cartographier les
chemins. La voie ferrée du petit train a été démonté, ce qui fait qu’il
n’existe plus de traces de son existence. A la sortie du bois, je retends mes
rayons car la roue s’est voilée légèrement. Je créé la surprise en arrivant à
midi à la maison.
Parcours :
Le parcours fait 59.9 kilomètres.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
22 degrés, ciel bleu et terrain roulant.
Evènements survenus :
Kilomètre 2,
vérification serrage plateaux du pédalier de Loulou.
Kilomètre 56.6,
dévoilage roue arrière pour Loulou.
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