Résumé :
Ce matin, c’est la dernière
sortie des vacances. Comme je n’avais pas pu le faire l’an dernier à cause de
mon entorse à la cheville, j’ai décidé d’aller à AIZENAY. Le temps est au
beau temps mais le vent du sud-est se met en travers de mon chemin. Au
départ, je fais un petit coup de sonde à la sortie du bois, mais c’est un cul
de sac. Pour arriver à COMMEQUIERS,
j’ai pris une variante par rapport à avant-hier. Kilomètre 0 du vélorail, me voilà parti pour 4.5 kilomètres de
ballaste. A DOLBEAU, je quitte la voie ferrée pour aller sur APREMONT. La
descente vers la ville a changé. Le lit ruisseau de la Tuderrière
a été recouvert de bitume faisant disparaitre tous ces rochers sympas. Il est
9h30, l’extrémité de mon parcours n’est pas encore atteinte. Mon tracé
progresse tranquillement sur la route puis sur un chemin puis tout à coup,
Plouf, Plouf ! C’est une succession de flaques qui occupent toute la
largueur. Les Bourbes, apparemment, ici, il y a eu plus
qu’une pissette à 2h00 du matin. Je repars et après quelques tours de roues,
Pschitt, Pschitt. Une belle épine est venue à bout de mon pneu arrière. La
réparation augmente la durée que je vais mettre pour arrivée en ville. Mais
heureusement, le bitume est à quelques mètres, je vais pouvoir accélérer.
10h35 le carton est tamponné et le contrat est rempli. Il ne me reste plus
qu’à enfiler mon K-way, car un orage vient de l’ouest. Et c’est justement par
là que je repars en empruntant le tracé de l’ancienne voie ferrée. Arrivé aux
Quatre Chemins, la pluie s’est arrêté, je peux retirer la couche protectrice.
A COEX, je retrouve le terminus du vélorail. Il ne
me reste plus qu’à suivre les panneaux du sentier cyclable qui me ramène sous
la chaleur à SAINT-GILLES-CROIX-DE-VIE. Le thermomètre indique 28 degrés et
il commence à faire chaud sous le casque. La piste cyclable de contournement
m’amène sur la route de la
forêt. Au bout je bifurque pour aller voir la bourrine à
Loulou. Elle n’est signalée comme je l’imaginais, alors pas de photo. Il est
13h15 lorsque j’arrive enfin à la maison. En posant le vélo, je constate que mon
passage sur le vélorail a laissé des séquelles sur
ma roue avant. La jante est rayée et le pneu est déchiré dans son
prolongement sur toute l’épaisseur. Une chance je n’ai pas explosé.
Parcours :
Le parcours fait 95 kilomètres.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
18 degrés, ciel nuageux et terrain roulant et venté.
Evènements survenus :
Kilomètre 39.9,
crevaison roue arrière.
Kilomètre 95, déchirure
pneu avant.
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