Résumé :
Ce matin, Titi a déclaré
forfait pour la grande sortie de la semaine. C’est donc accompagné de Jean-Mi
que je récupère en passant et que je descends vers le sud sur 50 kilomètres. Nous
testons un nouveau sentier dans la forêt de SAINT-HILAIRE. « On devrait
le faire dans l’autre sens car ce serait plus facile » me dit Jean-Mi. Nous
rattrapons la piste à SION. A cette heure là ça roule bien. A l’escale
technique de LA SAUZAIE, nous prenons par les terres pour contourner
BRETIGNOLLES. Evidemment un chemin qui n’existe pas qui nous oblige à passer
quand même. Une pente à 20% suivi d’une deuxième à 17% au pied de l’église de
SAINT-NICOLAS. Nous traversons BREM pour arriver à LA GACHERE. Nous découvrons
un rajout de piste cyclable pour éviter l’attente au feu rouge pour la
traversée du pont. Nous voilà en sous bois. Voilà qu’un énergumène nous
colle. Il prend le relais après le passage du tunnel. Puis Jean-Mi reprend
les rennes. Puis à mon tour de passer devant, mais il ne reste pas longtemps
derrière moi et Jean-Mi en fait les frais. A la bifurcation nous le laissons
et continuons par la réserve ornithologue. Nous faisons une pause pour
observer des mulets dans l’eau claire. Puis vu l’heure, nous repartons car nos
épouses nous attendent mais aussi Titi. 12h30, nous arrivons enfin aux SABLES-D’OLONNE
pour le restaurant « la case Bambou » où nous descendons chaque
année. 14h45, nous repartons en faisant un passage sur la jetée et un tour
sur la plage puis sur le Port Olona que nous quittons à 15h30 pour retrouver la
foule sur la piste cyclable. Deux jeunes se collent dans la roue de Jean-Mi
puis de la mienne. Au pied d’une bosse, j’entends clac-clac. A mon tour je
fais clac-clac et je m’en vais les laissant sur place. A la sortie du bois j’attends
Jean-Mi qui n’est pas bien loin derrière. Après le pont de LA GACHERE, face
au vent il me taquine de nouveau. Et là, même punition. Le vent de face
épuise jean-Mi. Alors il essaie de trouver une vitesse adéquate, opération
quasi impossible avec les relances perpétuelles dues à la fréquentation du
parcours. La fatigue fait chuter Jean-MI sur une portion sablonneuse. Une chance
pour lui, ce sont des ronces qui l’accueillent. Une flaque d’eau a du
repeindre le pantalon blanc de la piétonne qu’on vient de croiser. A SAINT-GILLES,
Jean-Mi m’annonce qu’il n’a pas la force de se tester dans la côte de la
corniche. Il est temps que la sortie se termine car même sur la piste en
forêt qui est toute plate Jean-Mi est au ralenti. Même l’idée e savoir que le
camping est proche ne le motive pas. Je fais une dernière escale chez Jean-Mi
avant de rentrer à la maison.
Parcours :
Le parcours fait 112.3
kilomètres.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche 19
degrés, ciel bleu et terrain roulant.
Evènements survenus :
Kilomètre 87, chute de
Jean-Mi.
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