DIMANCHE 06 MAI 2012

ENTRE ECOLE ET ESSONNE

LE COUDRAY-MONTCEAUX (91)

Résumé :

*      La petite bruine du matin ne m’a pas arrêté. D’ailleurs Christine, Roland, Eric, Michel ont répondu présent. Kiki, Pierre et Jean-Mi arriveront plus tard. Ça ne va pas être du gâteau car avec ce qu’il a plu hier soir, ça va être détrempé. Petite partie de rigolade au départ. Je cherche mon gant, et l’organisateur me fait remarquer que je l’ai dans la main. Je lui réponds que non en tendant la main gantée. Oups… Eric et Roland sont déjà partis et je me retrouve avec le tandem. J’accompagne Michel et Christine pendant la traversée de la ville. Au contact du chemin, je fais parler la poudre. Ou plutôt les éclaboussures tellement les flaques sont bien gorgées. A la sortie du bois de CHAMPCUEIL, je retrouve Roland et Eric. Roland n’est pas en forme ce matin car nous le distançons aussitôt. Déjà le premier ravito. C’est le dernier regroupement autour d’une collation pour nous cinq. Michel et Christine nous raconte qu’ils ont inventé le tandem à deux place frontale dans la descente en devers. En repartant, nous sommes confrontés à la piste savon noir qui contraste avec les champs jaunes. Le pilotage commence maintenant, car le participant qui est devant moi, n’arrête pas de s’accrocher dans le grillage. Dans la côte, le pied est obligatoire. J’en profite pour passer devant. Sur le plat je retrouve le temps d’un instant Eric. Un secteur walk and bike nous  permet de marcher ensemble. Je devrais plutôt dire glisser tellement les chaussures n’adhérent pas. Je le laisse partir car il a pris l’option 70 km. Au kilomètre 26, la flèche peinte sur le bitume est en partie effacée, il faut donc imiter les indiens et chercher les traces de crampons. Un peu plus loin je m’arrête faire la cueillette du muguet car je n’en ai pas trouvé mardi dernier. Nous sortons de la forêt pour une partie à découvert. Cette fois-ci, je me converti à la poterie car la boue colle au cadre et forme de beau moulage.  Une fois de retour dans les bois, je pars en travers et me récupère tel un pro, félicité par les gars d’ITEVILLE. Me voilà au deuxième ravito copieux car seulement 143 inscrits dont beaucoup ont choisi de se rabattre sur le 30km. La ravine provoquée par les quads nous sert de rampe de lancement après cet encas. Après la traversée des Grands Avaux, il y a déjà 43km au compteur et au vu de la carte, il reste encore pas mal de difficultés, alors je décide de tracer mon parcours qui entrecroise le tracé officiel. A CHEVANNES, Un participant est perdu et je lui propose de le raccompagner jusqu’à l’arrivée. En fait Yannick, analphabète, n’a pas su différencier les flèches « aller » et « retour ». Ce qui lui a fait faire un tour de golf gratuit. Il n’est plus question de courir après la pendule car j’ai une bonne action à mener à bien. A l’arrivée, je croise Eric qui a déjà terminé et sur le parking, il ne reste que trois voitures. 13h30, je prends le temps d’avaler mon sandwich car il n’y plus d’urgence. C’est double ration aujourd’hui, car il faut écluser les invendus.    

Parcours :

*      Le parcours fait 55 kilomètres avec deux ravitos aux kilomètres 19.2 et 34.6.

Conditions de route :

*      Le thermomètre affiche 12°, ciel nuageux et terrain glissant.

Evènements survenus :

*      Kilomètre 48.5, accompagnement d’un participant.

Légende : Parcours ----- Détour ----- Bonne action . Incidents .Ravitaillements .