Résumé :
« Quel est l’abruti qui a mis un
départ 7h00 depuis BONDOUFLE ? ». « C’est moi ! »
mais les volontaires pour venir à SAINT JEAN DE BEAUREGARD ont corrigé d’eux
même. C’est ainsi que sur le lieu d’inscription, je retrouve les 3P puis Olivier, Eric et
enfin Guitou. Après que les indiens aient fini de
comparer leur scalp’l, ils sont partis en
disparaissant vite à l’horizon. Le deuxième groupe démarre plus calmement.
Sous le viaduc, je propose à des vététistes de BALLANCOURT de remplacer un
rayon sur leur roue arrière, mais ils se débrouilleront sans. Eric profite
d’un embouteillage pour s’échapper. Je pars à la chasse. Mais me
faudrait un aérotrain pour le rattraper. Alors au bout de 20 km à la sortie des
MOLIERES, je ne reçois pas de trophée, mais je décide de rallonger mon
parcours en allant chercher la sculpture représentant l’ancêtre du TGV. Ce
petit détour me coute 12km. Mais me rallonge d’autant pour le ravito initialement
prévu au kilomètre 26. L’organisateur profite de ma présence pour me demander
de remettre de la rubalise après LE PISSOT. Comme je n’ai plus personne à
attendre, je le fais volontiers. A force, je suis rattrapé par ceux qui sont
partis tardivement. La chaleur commence à taper fort, 26° au thermomètre,
j’en ai asséché mon kamel-bag. Dans la Forêt de
Turpin, après une portion sablonneuse puis argileuse, j’arrive au deuxième
ravito. Je dois être le dernier car le temps que je me suis arrêté, personne
ne s’est pointé. Il ne me reste plus qu’à reprendre le tracé sans oublier la
dernière côte avant l’arrivée. Finalement il y a encore des voitures sur le
parking, donc je ne suis pas le dernier.
Parcours :
Le parcours fait 62.5 kilomètres
avec deux ravito aux km 38 et 53.5.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche 19°, ciel bleu,
terrain roulant.
Evènements survenus :
Aucun incident à signaler.
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