Résumé :
Ce matin, Christian a déclaré forfait car
hier, il a fait un mauvais mouvement. Nos camarades Cyclos
découvrent nos vélos crottés à la sortie du garage. Ils sont dans l’état
qu’on les a laissés la veille. A HAUTERIVE,
Kiki et moi roulons dans le ruisseau afin de laver le vélo. Juste avant
d’arriver au lieu-dit CHEMINAND, nous apercevons le château de VAREY qui
abrite un Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique. Mais ça là que les
choses sérieuses commencent. La traversée des bois de Fayat
avec une légère pente. Mais comme c’est humide, certains ont du mal à
avancer. Un passage à découvert nous permet de deviner AMBRONAY au fond de la vallée. Après cela
nous repartons en sous-bois sur le GR1, le même que l’on sillonne en Essonne.
C’est aussi le Chemin de Compostelle, mais Roland ne l’a pas vu. Et là,
caillou, racine et c’est du 50/50 (50m de distance pour 50m d’altitude). Tout
le monde fini par monter à pied. Kiki qui souffre d’un épanchement au genou a
du mal à suivre. Je pose mon VTT, récupère un bâton qui lui servira de canne
au moment ou je charge son vélo sur mon dos. Nous entamons la discussion avec
un motard qui flèche le « tour de l’Ain VTT ». Au château des Allymes, 16 kilomètres et 500 mètres
d’escaladés, il est déjà tard et je décide de raccourcir la sortie en
terminant par la route.
Eric veut continuer sur le tracé prévu et se fait guider
par Roland. Ils vont donc avoir 150m d’altitude de plus à grimper. Nous
discutons un moment avec un groupe en sortie équestre. L’un d’eux nous
propose le contenu de sa gourde pour nous rafraichir. C’est du cerdon, un rosé pétillant qui nous chatouille le palais.
A ANGIERES, nous découvrons une maison entièrement couverte de pattes de
chevreuil. La descente est aussi pentue que l’ascension. La vitesse de 60 km/h est atteinte sans
forcer et dans un lacet, je suis obligé de laissé de la gomme sur l’asphalte
pour m’arrêté avant la
barrière. Ouf nous voilà à SAINT-RAMBERT, il faut trouver
un resto pour manger. En attendant les autres, nous discutons avec un pécheur
(prétentieux) à la
mouche. Il nous annonce que l’autre, il a péché un ombre de
40cm qui a failli se faire attraper par une truite de 80cm lors de la sortie
de la rivière. Quel
brochet ce pécheur !!! Nos camarades arrivent, ils ont été jusqu’aux
antennes du mont Luisandre et nous annonce deux
chutes sans gravité. Il fait 32 degré en terrasse et la bière est la bienvenue. Menu
du jour pour tout le monde. En fin de repas, il a fallu parlementer pour que
le restaurateur nous valide notre carton de voyageur itinérant. Nous
repartons et j’arrête le groupe au garage Citroën car Eric a sa transmission
qui couine. Le mécano arrive avec sa graisse verte et à pleine main, il en
recouvre la chaîne.
Nous pouvons maintenant continuer. c’est l’Albarine qui nous guide jusqu’à BETTANT. Roland profite
d’une escale pour se ravitailler en cerise. Nous en faisons de même. Je
modifie le parcours afin de passer devant la gare d’AMBERIEU pour trouver un
troquet. Il faut pousser le pied jusqu’en centre-ville pour pouvoir déguster
notre verre offert par notre président. Une côte pour dernière difficulté de
la journée précède un chemin sans issue nous obligeant à retrouver la route
jusqu’à AMBRONAY. Nous reprenons le parcours jusqu’à l’hôtel sous la chaleur
car il fait encore 28 degrés
Parcours :
Le parcours fait 54.3 kilomètres
avec ravitaillement au km 22.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche 20°, ciel bleu,
terrain roulant.
Evènements survenus :
Aucun incident à signaler
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