Résumé :
Ce matin, nous prenons
le départ depuis OZOIR-LA-FERRIERE. Roland part en éclaireur sur le 50 car il
a souffert la semaine dernière, ensuite Fred, Eric, et Guen m’accompagnent.
Nous croisons Phil et Philippe. Ils vont bien nous rattraper. Le cardio de Guen monte dans le rouge dès la première
flaque. 3 kilomètres
de marécage bien trempé pour commencer. La sortie s’annonce bien. Les larges
allées prennent l’avantage et la vitesse augmente. A la mare du cormier, je
provoque un rassemblement lors d’une prise de photos, les deux Philippe
arrivent et se joignent à nous. Pour une fois qu’ils peuvent être sur la photo. Ils s’allègent
la tenue puis sont déjà repartis à la poursuite de Roland. En travers du
chemin, un arbre, j’arrive à passer sans descendre du vélo. c’était juste.
Fred n’a pas eu de chance car il perd son compteur et Eric s‘en aperçoit. Au
carrefour suivant, je m’aperçois que j’ai pris le large. J’ai trouvé ma
vitesse de croisière alors je continue à dépasser les participants qui me
servent de mire. Me voilà au premier ravito. Deux tartines de compote de
pommes et voilà Fred et Eric qui arrivent. Puis vient le tour de Guen qui va
se résoudre à terminer sur le 25
km. Ayant prévenu mes camarades que je prendrais un
billet de sortie pour passer voir la famille, je les quitte au moulin de
FERRIERES-EN-BRIE. Après avoir fait un ravito éclair chez le beau-frère, je
reprends la rando. A l’église, le fléchage est
absent, mais sans importance car un peu plus loin une flèche peinte au sol
est là. Je fais une pose pour une photo devant le château de FERRIERES. Puis
retour dans les grandes allées en sous-bois. Kilomètre 26.5, la première
bosse de la matinée nous amène dans une carrière. Enfin un tronçon ludique.
Puis auprès de l’étang de belle assise, je me laisse perturber par la gente
féminine et loupe la
rubalise. Je ne suis pas le seul à ne pas la voir car elle aussi
est sur le mauvais chemin. Puis vient le tour des participants que je viens
de dépasser. Eux aussi font la boucle. Nous revoilà partis dans une portion
boueuse. Mais les allées roulantes reviennent jusqu’au pont du TGV. Là un
adversaire de taille, le vent de face le long de la voie ferrée, impossible
de dépasser le 20 km/h
excepté quelques brèves pointes à 22. le ravito se
fait sentir, mais un chemin sans rubalise, m’oblige à ressortir la carte. C’est bon c’est
tout droit. Au ravito, je resserre la cassette d’Eddy, un copain du club de
VILLEPARISIS. Voilà encore une bonne action. « il est vraiment trop fort
Loulou ». il ne reste qu’une dizaine de kilomètres mais les 5 derniers
vont être éprouvant car nous avons encore droit à du marécage suivi d’un
tronçon qui tabasse. J’ai les muscles des bras qui n’en peuvent plus. Me
revoilà sur le bitume qui mène à l’arrivée. Il ne reste que Fred sur le point
de partir qui m’annonce que nous avons gagné une coupe du club le plus
nombreux et le plus éloigné. Le temps de manger mon casse-croute et je suis
appelé sur le podium. Le public sourit à la vue de mon panneau
« BOUE » qui était de circonstance aujourd’hui.
Parcours :
Le parcours fait 54.6 km avec deux ravitos
aux kilomètres 18 et 41.5.
Billet de sortie avec un
détour de 500 m
pour une escale au kilomètre 19.9.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
08°, ciel blanc et terrain gras.
Evènements survenus :
Kilomètre 9.5, perte du
compteur pour Fréd.
Kilomètre 41.5,
resserrage cassette pour un participant.
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