DIMANCHE 13 MARS 2011

LA RANDONNEE DE LA MI-CAREME

OZOIR-LA-FERRIERE (77)

Résumé :

*      Ce matin, nous prenons le départ depuis OZOIR-LA-FERRIERE. Roland part en éclaireur sur le 50 car il a souffert la semaine dernière, ensuite Fred, Eric, et Guen m’accompagnent. Nous croisons Phil et Philippe. Ils vont bien nous rattraper. Le cardio de Guen monte dans le rouge dès la première flaque. 3 kilomètres de marécage bien trempé pour commencer. La sortie s’annonce bien. Les larges allées prennent l’avantage et la vitesse augmente. A la mare du cormier, je provoque un rassemblement lors d’une prise de photos, les deux Philippe arrivent et se joignent à nous. Pour une fois qu’ils peuvent être sur la photo. Ils s’allègent la tenue puis sont déjà repartis à la poursuite de Roland. En travers du chemin, un arbre, j’arrive à passer sans descendre du vélo. c’était juste. Fred n’a pas eu de chance car il perd son compteur et Eric s‘en aperçoit. Au carrefour suivant, je m’aperçois que j’ai pris le large. J’ai trouvé ma vitesse de croisière alors je continue à dépasser les participants qui me servent de mire. Me voilà au premier ravito. Deux tartines de compote de pommes et voilà Fred et Eric qui arrivent. Puis vient le tour de Guen qui va se résoudre à terminer sur le 25 km. Ayant prévenu mes camarades que je prendrais un billet de sortie pour passer voir la famille, je les quitte au moulin de FERRIERES-EN-BRIE. Après avoir fait un ravito éclair chez le beau-frère, je reprends la rando. A l’église, le fléchage est absent, mais sans importance car un peu plus loin une flèche peinte au sol est là. Je fais une pose pour une photo devant le château de FERRIERES. Puis retour dans les grandes allées en sous-bois. Kilomètre 26.5, la première bosse de la matinée nous amène dans une carrière. Enfin un tronçon ludique. Puis auprès de l’étang de belle assise, je me laisse perturber par la gente féminine et loupe la rubalise. Je ne suis pas le seul à ne pas la voir car elle aussi est sur le mauvais chemin. Puis vient le tour des participants que je viens de dépasser. Eux aussi font la boucle. Nous revoilà partis dans une portion boueuse. Mais les allées roulantes reviennent jusqu’au pont du TGV. Là un adversaire de taille, le vent de face le long de la voie ferrée, impossible de dépasser le 20 km/h excepté quelques brèves pointes à 22. le ravito se fait sentir, mais un chemin sans rubalise, m’oblige à ressortir la carte. C’est bon c’est tout droit. Au ravito, je resserre la cassette d’Eddy, un copain du club de VILLEPARISIS. Voilà encore une bonne action. « il est vraiment trop fort Loulou ». il ne reste qu’une dizaine de kilomètres mais les 5 derniers vont être éprouvant car nous avons encore droit à du marécage suivi d’un tronçon qui tabasse. J’ai les muscles des bras qui n’en peuvent plus. Me revoilà sur le bitume qui mène à l’arrivée. Il ne reste que Fred sur le point de partir qui m’annonce que nous avons gagné une coupe du club le plus nombreux et le plus éloigné. Le temps de manger mon casse-croute et je suis appelé sur le podium. Le public sourit à la vue de mon panneau « BOUE » qui était de circonstance aujourd’hui.                 

Parcours :

*      Le parcours fait 54.6 km avec deux ravitos aux kilomètres 18 et 41.5.

*      Billet de sortie avec un détour de 500 m pour une escale au kilomètre 19.9.

Conditions de route :

*      Le thermomètre affiche 08°, ciel blanc et terrain gras.

Evènements survenus :

*      Kilomètre 9.5, perte du compteur pour Fréd.

*      Kilomètre 41.5, resserrage cassette pour un participant.

Légende : Parcours ----- Erreur parcours---- Incident. Ravitaillements . Bonne action .