Résumé :
Ce matin, direction
Orsay. Le boulot organise une journée cohésion avec des animations sportives.
Parmi celles-ci est proposé du VTT. Je suis chef du groupe 1 avec une dizaine
de participants. Ne connaissant pas le niveau de chacun, je vérifie que tout
le monde suit. Et nous avons à peine parcouru 2 kilomètres que
déjà une erreur de parcours. Heureusement, je suis secondé par 3 copains du
club de l’OC GIF. Inutile de faire demi-tour, la route nous ramène sur le
tracé. Avant de passer sous la N118, il y a des marches que nous franchirons
à pied. Il en sera de même pour celles du Guichet. 5 kilomètres nous
auront suffit pour rattraper le groupe 2 qui s’est élancé un quart d’heure
avant nous. Je régule la vitesse de manière à ne pas mêler les deux groupes.
Au pied de la côte du bois persan, Pandore stoppe son groupe pour nous
laisser passer. Au pied du pylône de VILLEBON, il faut resserrer la manette
de dérailleur de Patrick. Une pièce de 50 cents suffit. Pandore en profite
pour nous repasser. Enfin un secteur boueux se présente devant mes crampons.
Je maintiens une vitesse de 19 à 22 km/h pour conserver un groupe pas trop
allongé. Le regroupement se fait lors d’un arrêt au feu rouge à VILLEJUST. Je
repasse devant pour la traversée du bis des rochers de SAULX. Au sommet de la
côte, j’improvise une variante en nous rendant sur la table d’orientation.
Pas de chance, il n’y en a plus mais nous avons la chance de voir la Tour
Eiffel. Lors d’un changement de direction, Alain frotte mon pneu arrière et
c’est la chute. C’est ça les spécialistes du bitume !, ils ont
l’habitude de sucer la roue, mais en oublient les distances de sécurité. Les
deux groupes arrivent ensemble sur le point de ravitaillement. La photo
souvenir avant de repartir vers le lac de SAULX. nous longeons l’Yvette
jusqu’à ORSAY. Un retraité nous fait gentiment remarquer que la piste est
piétonne. Bizarre, il n’y a pas de panneau. Nous continuons le tracé comme
convenu jusqu’à la STAPS. Dans la côte bitumée, les crampes arrivent pour
notre maitre-chien. Vient enfin la dernière difficulté de la matinée, avec
une côte longue et régulière. A l’épingle, je m’assure que tout le monde
suit, puis je repars à la poursuite de ceux qui sont passés en tête. Au
sommet je m’arrête et indique la direction à suivre, en attendant que les
autres arrivent. Après 3h05, nous revenons sur le point de départ. Une
moyenne de 10 km/h
pour un dénivelé de 555
mètres. Je suis remercié pour cette magnifique sortie
ensoleillée.
Parcours :
Le parcours fait 31 km avec une pause
« barre céréales » au kilomètre 14.5.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
19°, ciel bleu, terrain sec.
Evènements survenus :
Kilomètre 9, resserrage
de la manette de dérailleur à Patrick.
Kilomètre 14, chute
d’Alain.
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