Résumé :
Ce matin, direction LA
NORVILLE. Kiki, Roland, Eric, Coyote et Tomtom,
m’accompagnent. Tout le monde s’inscrit sur le 55 km. Je m’aperçois que le
Gps n’est pas allumé à quelques tours de pédales du
départ. Première côte à 500
mètres du départ, je pose une mine, comme dirait les
pros, en me collant dans la roue d’un avion. En haut de la côte, mes
camarades ont disparus. Il n’y plus que l’avion dans le rétro que je vais
trainer pendant 6 km.
Là je suis obligé de m’arrêté car mon lacet s’est accroché dans le plateau.
Je profite du sommet de la deuxième côte, pour enlever les manches longues.
Je continue dans ma lancée jusqu’à l’approche de la RN 20 ou Eric me
rattrape. Sur l’échangeur, on aperçoit Roland à quelques longueurs derrière.
Eric constate que je suis heureux comme un poisson dans l’eau avec toutes ses
flaques. Après la descente de SAINT YON, un passage de tronc d’arbre pris de
travers fait chuter Eric. Je fais une pause causette avec le club de
LEUDEVILLE en pleine réparation avant de continuer. Le premier ravito est à
vue et Eric se fait éjecter par l’ornière, je l’évite de peu. Roland nous
rattrape lors du premier ravito. Cette fois-ci nous sommes trois pour
continuer. Eric part vite, Roland le suit mais j’ai un peu de mal à accrocher
les wagons. Nous sommes en excès de vitesse dans la descente de JOUY qui est limitée
à 50 km/h.
si le radar avait été positionné au lieu-dit LES MONTEAUX, on aurait perdu au
moins deux points. Il est 10h00 et nous sommes à la bifurcation 55/70. Eric
s’est échappé et Roland a envie d’essayer le 70 km. Par solidarité, je
l’accompagne. La bifurcation 70/91 intervient 500 mètres plus loin.
Cette fois-ci je retiens Roland qui voulait s’y aventurer. Dans la descente
glissante du Tertre rouge, je chevauche un tronc couché dans le sens de la
longueur et c’est le roulé-boulé. La fatigue se fait sentir et les côtes se
gravissent à une vitesse lente. J’en profite pour ramasser les trèfles à
quatre feuilles qui s’exposent à ma vue. Le vent s’invite sur le plateau de
BLANCHEFACE. Au deuxième ravito, nous retrouvons Canari qui s’est retrouvé
sur le 91 km
par mégarde et perdant le contact avec Phil et Philippe qui sont resté sur le
70 km.
Nous repartons, Roland en tête qui roule après le temps perdu. Je ferme la
marche avec une vitesse qui oscille entre 30 et 35 km/h. Au sommet de la
rue du souffle-cul à MONTFLIX, Canari a disparu. Il ne me reste plus que
Roland que je garde en point de mire jusqu’au troisième ravito. Dernier
amuse-gueule, le gué avant d’attaquer la côte de SAINT SULPICE DE FAVIERES.
C’est plutôt un exercice de glisse pour arriver au sommet. Là je retrouve
Philippe, un collègue de travail pour qui c’est son baptême vététiste. Allez
maintenant c’est tout plat avec une légère descente après TORFOU. 12h45,
c’est la fin avec un casse-croûte. Je distribue mes trèfles à la gente
féminine en retour. Je retrouve Skippy sur le
parking. Il a fait les 91 km
lui aussi.
Parcours :
Le parcours fait 67.6 km avec trois
ravitos aux kilomètres 19.8, 40.6 et 50.8.
Conditions de route :
Le thermomètre affiche
16°, ciel nuageux, terrain humide.
Evènements survenus :
Kilomètre 6.5, lacet de
chaussure de Loulou emmêlé dans le plateau
Kilomètre 17, chute
d’Eric
Kilomètre 18.5, chute
d’Eric
Kilomètre 31, chute de
Loulou.
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