Résumé :
Ce matin je rejoins
Coyote au camping, déjà è kilomètres de liaison avant la rando
du jour. Ne connaissant pas la région bremoise,
nous optons pour cette destination car l’autre organisée le même jour, nous
l’avions parcouru l’an dernier. Arrivé à BREM, il faut trouver le point de
départ, car ce n’est pas indiqué. Nous tombons sur un hollandais, qui n’en
sait pas plus. Finalement, nous arrivons au stade. Là, le patron du PSL Bike,
éprouve du plaisir à retrouver des essonniens. Et pour cause, il a préféré la
Vendée pour exercer son commerce. Je pause mes dépliant
de l’Essonnien 2007, avant de prendre le départ. Et c’est parti pour 38 kilomètres.
Le terrain est gras car, apparemment, il a plu dans la nuit. Promenade
pépère, la foule n’envahit pas les chemins. Des gouttelettes s’invitent, sans
rester. Ça ne paraît pas comme çà, mais lorsqu’on rentre en sous bois c’est
pour obtenir du dénivelé. Coyote ayant un faible pour les côtes, prend du
retard. Tout à coup, un participant me dit que mon panneau n’est pas vraiment
utile par ici. Dommage pour lui, car 100 mètres plus
loin, la boue l’éclabousse lors de mon passage dans l’ornière. Il réfléchira
la prochaine fois qu’il me verra. Nous voilà au premier ravito apès seulement 16 kilomètres.
Là arrivent des vététistes du cru râleurs. Certes le fléchage est un peu
léger, mais il a le mérite d’exister. Pourquoi en faire un roman. A la bonne
franquette, rien n’est prêt et chacun déballe la nourriture. Nous voilà
reparti vers le prochain ravito. Une traversée de gué, avant de traverser un
camping. Je suis un peu perturbé par une résidente et c’est au dernier moment
que je tourne. Avant d’arriver le long de la retenue du lac Jaunay, je sens que les cailloux rencontrés dans la
descente sont plus durs que d’habitude. Il n’y a aucun doute, c’est la
crevaison. La réparation et un arrêt à l’office du Tourisme pour récupérer
des cartes d’itinéraires nous coûtent la lanterne rouge. A peine un kilomètre
et voilà le deuxième ravito. On retrouve nos deux râleurs qui reviennent du 58 kilomètres.
Nous repartons ensemble. Une intersection se présente, le fléchage sur le
bitume est mal orienté. Je me retourne vers le vendéen et lui dit
« chut » avant qu’il ne prononce un mot. Nous passons sans nous
arrêter devant un ravitaillement à AIGUILLON. Nous abordons la première
difficulté de la matinée à LA CHAIZE GIRAUD, une côte à 20%, mais on ne le
saura qu’après avoir vu le panneau en haut de la côte. Nous parcourons
presque toutes les rues avant d’en sortir. Un petit doute m’envahit lorsque
je tombe sur un panneau de la rando pédestre qui me
rappelle étrangement l’itinéraire aller.
Repositionnement sur la carte à l’aide du gps de
Coyote et nous repartons vers l’arrivée, via la deuxième difficulté du même
ordre que précédemment. Surprise à l’arrivée, Roland, président du SMS,
accompagné de son épouse, viennent de finir leur randonnée pédestre. Le
résultat de la tombola ne nous est pas favorable.
Parcours :
Le parcours de la rando fait 39.5 kilomètres
avec ravitos aux kilomètres 16, 22 7 et 31,7
Parcours de liaison fait
6 kilomètres
soit un total de 45,5
Conditions de route :
Le thermomètre donne
19°, ciel mitigé, terrain trempé mais roulant.
Evènements survenus :
Kilomètre 20.6,
crevaison roue arrière de loulou
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