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Cet après-midi, j'allais presqu'oublier le rendez-vous. Et en plus la fermeture éclair du maillot qui me lâche dans les mains. Au moment de partir, il ne me reste que trente minutes pour aller à Saint-Hilaire-de-Riez. Pas le temps de m'echauffer et c'est à fond que je m'élance. En chemin je double Nicole et Alain M qui se dirige aussi vers la Baritaudière. Ils n'ont juste eu le temps de voir mon sac à dos. Finalement il ne m'a fallut que vingt-cinq minutes pour parcourir les dix kilomètres. Pour la valade à un rythme moins soutenu, je suis accompagné de Mireille, Nicole, Nadette, Christiane, Alain M, Loïc et Alain H. En longeant la forêt on arrive à la plage de Sion-sur-l'Océan. L'odeur des algues rouges envahit les narines. C'est l'occasion de faire la première pause. Ensuite, on continue le long de la Corniche en se faisant chahuter sur la portion où les utilisateurs de vélos et de trottinettes doivent circuler à pied. Je fait gentillement remarquer au piéton qui nous empèche de passer que le panneau mis en place n'existe pas dans le code de la route. Et dans le coup, il s'écarte. A La Pelle à Porteau, les ouvriers encombrent la piste pour la bonne cause. Ils réparent une énième fois la digue depuis que Xynthia l'avait détruite. Nous passons devant les ports de pèche et de tourisme avant de partir vers la Grand Plage. Là nous faisons une deuxième pause efin de laisser passer le gros nuage noir qui vient de l'Est. Le froid commence à tomber, il est temps de finir la balade en faisant une boucle dans le Quartier du Sablais. C'est par la route la plus rapide que nous retrouvons la piste cyclable à La Chabasonnière. Ce n'est qu'au Bouteillon que nous la quittons pour revenir au parking. Pour le retour, je décide d'improviser le tracé qui me fait passer par la stèle des cheminots puis le bélevédère du Camp Martin. Le sentier continue à monter jusqu'à la borne qui indique le point le plus haut de cette partie de la forêt avec 30 mètres d'altitude. Il ne me reste plus qu'à redescendre jusqu'à La Parée Préneau. de retour sur l'EV1, je n'ai plus qu'à rentrer tranquillement jusqu'à la maison.
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