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SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE (44) |
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Ce matin, c'est la dernière rando organisée. Mais comme les trois tempêtes (Celine, Ciaran et Domingos) ont laissé des traces de leurs passages. La conséquence est que l'organisateur a annulé le 53km VTT. Alors j'adapte mon parcours. La première partie sera calquée sur le Gravel. Et je m'élance accompagné d'une dizaine de graveleux. Je les laisse faire leur boucle autour du Bois des Anses. Il me rattrapperons après le pont et l'échangeur de Bellevue. Comme ça fait dix jours que je n'ai pas roulé, je fais mon échauffement en queue de peloton. Mais la vitesse augmente petit à petit et je me laisse distancer car la deuxième partie sera moins roulante. Une petite erreur de parcours au Maudoux, puis une seconde au plan d'eau de Saint-Julien-de-Concelles et une halte à la Chapelle de Saint-Barthélémy me permet de retrouver un deuxième groupe de graveleux. Mais le tracé se prête à la curiosité et je me retrouve en solo. Après une succession de chemins inondés et de petites routes mouillées, j'arrive sur les bords de loire. Le chemin qui sillonne entre les serres maraichines et le fleuve est jalonné de grandes flaques d'eau pour me mettre dans le bain pour le parcours VTT. Le pont de Mauves-sur-Loire sonne la fin de l'itineraire Gravel. Il me reste plus qu'à trouver la route pour monter au ravito. Pas facile car la piste cyclable ne permet pas de passer au plus court en traversant la ligne SNCF. Après la collation, le décor change avec une descente très glissante pour revenir au pont de Mauves-sur-Loire. La piste coincée entre la ligne de chemin de fer et la Loire m'amene jusqu'au tunnel. Ensuite Le Val Manteau et sa longue montée se présente. Tout à coup ça bouchonne. La raison est un arbre d'un diamètre d'un mètre qui entrave le sentier. La solidarité facilite le franchissement. Je repars en tête. Le terrain est tellement détrempé qu'on se ferait vite embarqué. Le tracé est différent de celui des années précédentes. D'ailleurs à Haut-Gripeau, après la bifurcation 37/43, les rochers des Coulées du Cellier ont été évités. Par contre sur le tracé proposé, une dizaine de gué plus profond les uns que les autres ponctuent le passage au fond de la vallée de La basse Bélorière. Le passage sur la plaine ave l'Autouroute A11 en fond sonore permet de souffler. A La giquelière, le parcours plonge au fond de la Coulée de Rochart en longeant le ruisseau par une ravine qui slalomme entre les bloc de granit. L'alternance de rigoles et de flaques se termine en revenant au ravito. D'ailleurs, je n'ai toujours pas trouvé le passage vélo sous le rond-point. Pour le retour, une dernière ravine du Bois Blot précède un chemin détrempé. Le crachin commence à s'inviter et le vent aussi. Au bout de 2.3 kilomètres de terrain spongieux, je retrouve la piste de "La Loire à Vélo" jusqu'au plan d'eau de bellevue. Le passage sous le Périphérique Est nantais annonce la fin. L'organisateur fait passer le parcours par l'aire de lavage. Je préfère aller chercher mon sandwich car le crachin s'intensifie. |
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Kilomètre 11.7, erreur de parcours Kilomètre 17.3, erreur de parcours Kilomètre 31.2, liaison Gavel/VTT |
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Liaison parking aller = 0.7 km Liaison parking retour = 0.7km Parcours rando = 65.4 kilomètres Distance totale = 66.8 kilomètres
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712 mètres.
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Terrain roulant sur la première partie Détrempé sur la deuxième partie
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Ravitos aux kilomètres 34.5 et 53.8.
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Ciel nuageux
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14 degrés au début de la sortie
16 degrés au retour
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