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Cet après-midi, s'il n'y avait pas le vent, ce serait la canicule. Alors pas d'hésitation à se rendre au rendez-vous du mardi. En longeant la forêt, je me fais déposer par une trottinette électrique. Mon compteur affiche 28km/h et j'ai eu l'impression d'être à l'arrêt, lorsque l'inconscient non casqué m'a doublé. A La Baritaudière, je retrouve Michel, Jacqueline, Mireille, Claude et Nicole. Au programme, j'ai prévu un parcours dans les marais de 25 kilomètres. Je commence par modifier le tracé à cause du chemin du passage du marais en travaux. Le long des campings, Mireille se plaint de bruit sur son vélo suite à une chute la veille. Je détecte que la patte du carter pédalier est légérement tordu. Une fois redressée, nous reprenons la balade. La première portion gravillonnée nous amène au rond-point du Pissot puis au Grollier. La longue portion bitumée passant devant la Bourrine à Jucquaud permet d'arriver au deuxième secteur gravier jusqu'à l'Ile. Le contournement de La Fradinière se termine en passant devant les serres. Je propose une pause avant d'attaquer le troisième chemin en gravier qui passe à La Petite Herse. Nous arrivons à Orouët que nous contournons par le Chemin de Montociel. De retour sur l'EV1, il faut slalommer entre les piétons qui discutent et les vélos qu'on croisent. Et Michel, déséquilibré au passage d'une de ces chicanes humaines, a préféré tomber plutôt que de se prendre un potelet. A part un genou éraflé, les gants et le casque ont protégé le reste. Il y a juste le garde-boue à remettre dans l'axe et nous pouvons continuer la sortie par la route de la Faye. Tous content de cette découverte du marais, nous nous quittons. Pour le retour, je fais une halte au stade pour remplir le kamelbak car avec cette température, j'ai vidé le sac à eau. Comme la rando a démarré avec un peu de retard et qu'elle a duré plus longtemps, la piste cyclable qui me ramène à la maison s'est désertifiée.
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