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C'est lundi. J'ai pourtant mis le réveil à sonner mais j'ai la flemme. Et ce n'est que deux heures plus tard que je me décide à aller rouler. C'est via le marais et avec le vent comme compagnon de route que j'arrive au Grand- Pont. Je vais chercher la digue pour longer le Grand Etier de Sallertaine. Mais la diminution de fréquentation de ce chemin fait que les herbes hautes en ont pris possession. C'est par l'itinéraire cyclable que j'arrive sur le Gois. Si seulement je n'avais pas profité de la couette, j'aurais pu aller sur l'île de Noirmoutier. Mais arrivé au deuxième refuge, le demi-tour est obligatoire. Pour le retour, je file vers le Pont-Noir pour une geocache. Mais aussi pour suivre le GR sur la digue. Il y a juste le passage d'un piéton entre les herbes hautes. Il y a quand même une portion non praticable, alors qu'elle l'était auparavant. De retour au Grand Pont, je traverse les champs pour longer l'héliport. Je monte sur la digue où le tracé pieton est marqué. Par contre, il ne faut pas avoir peur de se griffer par les chardons hauts jusqu'au guidon. Me voilà de retour à la civilisation au Pont Neuf. Je n'ai plus qu'à suivre le balisage pour arriver à la forêt. C'est au Pey de la Blet très fréquenté que je demarre la portion d'EV1. Il y a un peu de monde sur la piste mais c'est raisonnable. Je me colle dans la roue d'un cyclo-saccoches jusqu'à Saint-Jean-de-Monts où nos chemins se séparent. C'est par le remblai et la forêt que je reviens à la maison.
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