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Bon bah, c'est la dernière sortie en pays gersois. Le constat de ce matin est que le parking est presque vide, donc il ne va pas y avoir beaucoup de participants sur les circuits. Ce matin, c'est 37 km pour Séverine et Stan. Christelle, Patrick, Jean-Mi et moi partons sur le 27 km. Un dernier passage par le café quatre quart et c'est parti pour sept kilomètres de plat en longeant le canal de la Savère juste avant la difficulté, j'arrive à garder le contact avec Jean-Mi et Séverine. Mais après avoir traversé la RD634, je n'ai qu'à voir filer mes camarades. D'autant plus que les cassettes 40 et 42 dents ne passent plus. Après avoir contourné La Bastide Savès par une vue sur Samatan, le parcours revient sur la Save. Là je retrouve les vendéens de Saint-Hilaire de Loulay que j'accompagne jusqu'au premier ravito de Cazaux Savès. Christelle et Patrick et Jean-Mi repartent au moment où j'arrive. C'est le seul jour où le canard est servi à profusion. Après voir été gavé de magret et saucisson, il faut quand même repartir. c'est par un single accidenté montant que je regagne le plateau. Je me fait doubler par un VTTAE estampillé Gendarmerie. Son pilote n'a même pas voulu s'arrêter pour que je puisse prendre la pause avec mon maillot VTT Gendarmerie. C'était juste avant de redescendre vers Noilhan pour une deuxième pause gourmande. Charcuterie normale en quantité largement suffisante. On a même droit à une spécialité locale; le tourain qui est une soupe à l'ail. Avec toutes ces agapes, on ne va pas pouvoir rouler. Mais avant de repartir, je vais visiter l'exposition de vieilles voitures. Et au moment de remonter sur le vélo, je retrouve une connaissance. Valérie, une ancienne licenciée du club de Limeil-Brévannes. Nous terminons ensemble la rando qui ne propose plus de difficultés. Juste avant de rentrer dans Samatan, je logue une dernière geocache. A l'arrivée, je regarde de plus près la transmission pour constater que le cable de dérailleur arrière ne tient plus que par un filin |
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