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Les dimanches se suivent, mais ne se ressemblent pas. C'est ainsi que ce matin, le brouillard bouche l'horizon. Il reste quelques portions de bitume pailleté sur le chemin du rendez-vous dominical. Gégé, Vincent, Frédéric et Daniel G n'attendent plus que moi pour partir. J'ai opté pour le petit parcours mais Gégé réduira la vitesse pour que tout le monde suive sur le grand. Sur le tracé qui nous emmène vers Saint-Réverend puis le Gué-Gorand, je suis à l'arrière. Mais à l'approche d'Apremont, je ne suis joue plus le rôle de la lanterne rouge. "Ca y est, il est chaud" me lance Frédéric dans la montée vers le Château de la Audardière. On fait la pause au pied du château d'Apremont avant de monter les escaliers. Ma tentative s'arrête après la quatrième marche. Le pneu a ripé sur le bois mouillé. Pour le reste de la balade, le tracé et vallonné jusqu'au Dolbeau. A Port-Saïd, je reste sur le ballastre pendant que les copains suivent le chemin jusqu'au passage à niveau. Le terrain est roulant jusqu'au Pas d'Opton. C'est la côte de trop pour Vincent qui reste de plus en plus à l'arrière. La Roussière est le dernier secteur où l'on peut mouiller les pneus. Gégé raccourcit le tracé au Plessis. Puis on évite l'arrivée à la salle pour un retour direct vers nos domiciles respectifs. Un crachin commence à tombé. Pour couronner le tout, après le gymnase de La Faye, je suis victime d'une crevaison du pneu arrière. Ça retarde un peu l'arrivée à la maison.
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