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Ce matin, pas facile d'arriver jusqu'aux inscriptions. Entre la salle des fêtes et la salle des sports, j'ai tourné en rond. Le bracelet ficelé autour du bras, je m'élance pour le 46 km en mettant le cap au Nord. Le parcours reprend le tracé de la rando de La Chevrolière en sillonnant à travers les zones maraîchères. C'est une partie roulante qui me permets de m'echauffer. On a droit à une rigole pour laver légèrement les pneus. J'arrive à Notre Dame du Rosaire pour le ravito. On a droit aux oeufs en chocolat, car c'est Pâques. La suite du parcours change de décor avec le vignoble nantais et un peu plus de dénivelé. Une alternance de chemins en zones boisées, de passages de passerelles et de gués aini qu'un peu de bitume m'amène à Corcoué-sur-Logne. Et c'est là que les problèmes continuent. Le tracé bute sur une zone de travaux. Je sors la photo du parcours car il n'y a plus de balisage. Ceux qui étaient avec moi ont préféré rebrousser chemin. Après avoir tatonné, je retrouve le fléchage au niveau du stade de foot. Le paysage défile tellement vite que le deuxième ravito m'arrête à Grossève. J'ai encore droit aux oeufs en chocolat avant de passer la zone technique. Ensuite je longe la Logne en sillonnant sur le tracé de l'ancien tacot. A la Chapelle, je m'écarte légèrement du tracé pour aller faire un peu de tourisme. Le tracé s'écarte de la Logne pour retrouver le soleil qui innonde la matinée. Au Pay Milon, l'organisateur a trouvé une pinède et s'est régalé à nous tracer une boucle sinueuse. La sortie de cette zone se fait par une descente boueuse donnant l'impression que c'est du ciment. A la sortie ça frotte de partout, disques, plaquettes, pédalier et pneus. Au Pont, je retrouve le bitume. C'est un court moment de répit puisqu'une dernière ravine est prévue sur le parcours. Ensuite c'est roulant et sec jusqu'à l'arrivée. Il n'y a plus qu'à faire la queue pour le sandwich et le verre de cidre. |
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