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Wouah, la nuit fût courte. Couché à 2h00 et debout à 6h30 pour retrouver les copains du club aux inscriptions à 8h00. La dernière fois que ç'a m'est arrivé, c'était avant que le Covid-19 ne viennent nous pourrir la vie. Comme je ne vois personne car il est un peu plus de 8h00, je m'élance seul sur ce parcours qui me paraît roulant. Mais on commence d'abord par aller jouer avec la rivière du Jaunay en commençant par une descente en rigole bien grasse suivi d'un premier gué et d'un petit single bien étroit bordé d'arbre à gauche et le vide à droite comme certains de Bondoufle ne les aimaient pas. C'est l'occasion de faire 3 caches avant de reprendre du roulant jusqu'au ravito à Martinet et une autre série de caches. Un deuxième gué se présente avant la remontée sur la Réveillère. Ensuite c'est du roulant jusqu'au Lac du Jaunay. Dans la descente vers La Baudrière, il y une pancarte qui indique une spéciale. Comme je la connais pour l'avoir pris en sens inverse, je l'évite. Mais une fois arrivé à la jonction, je ne vois pas la bifurcation 44/51. Je ne sais pas si j'aurais apprécié le dénivelé autour du lac du Jaunay. Et je continue en suivant le balisage. Après le pont, le parcours continue de longer l'étendue d'eau. Il y a des travaux pour faire une piste de contournement de La Roche-Guillaume. Au camping de la Guyonnière je fais une dernière cache. Alternant entre chemins poussièreux et chemins tabassant, le paysage défile un peu plus rapidement. A la Sourderie le service à l'assiette est mis en place au ravito pour respecter le protocole sanitaire. "C'est roulant jusqu'au bout" annonce les ravitailleurs. Après le contournement de Saint-Julien des Landes, je retrouve un gars avec qui j'avais roulé un bout de chemin sur la Grandlandaise. Avec une vitesse régulière de 29km/h, les kilomètres défilent, on se rapproche rapidement de l'arrivée. Je le laisse filer dès que le revêtement me rappelle que je n'ai pas de suspension à l'arrière. Il est 11h30 lorsque je récupère mon sandwich après 2h15 de rando. |
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