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Ce matin, c'est une nouvelle rando que je vais découvrir. J'ai chargé le parcours de l'an dernier et les geocaches à trouver sur ce parcours. Qu'est-ce que ça fait du bien de retrouver une rando presque normale, mise à part la présentation du pass'sanitaire, on a droit au café brioche avant de partir. Je suis le premier au guichet pré-inscriptions. Les organisateurs distribuent une liasse de papiers composée du ticket repas, du ticket pour la bourriche (tirage au sort) et le parcours. Au premier regard, il différe beaucoup dans sa deuxième partie. Je suis à peine parti sur un sentier parsemé de ponts humides que les pauses et détour pour geocacher commencent. je termine par une dernière cache face au chateau avant le lac de Finfarine. Mais avant, c'est du parcours roulant qui me permets de rattrapper le temps perdu. Finalement, je pense que je ne suis pas le premier car une trace de crampons me guide. La drache tombée à 5h00 cette nuit est bien visible. Au brandais, occupé à regardé le GPS que j'en oublie le balisage. je traverse la RD949 un peu plus loin. J'arrive au barrage du Lac de Finfarine. C'est maintenant qu'il faut que j'ouvre l'oeil car je dois trouver 13 boîtes. C'est déjà le premier ravito et les participants arrivent. C'est aussi un ravito nouvelle génération avec un service en "main propre". Après cette première pause revigorante, je continue ma quête avec un passage dans Poiroux dont le paysage fait penser à une traversée de hameau de moyenne montagne. Je fini la série de boîtes au pont non loin du ravito. Maintenant, je vais pouvoir me consacrer pleinement au revêtement du sentier avec ses platières et racines glissantes. Au moment de repartir de la cache face à la Carrière des Morinières, je retrouve Brigitte et Mousse des copains du VTT Verneuil en vacances sur le secteur. La traversée de Talmont-Saint-Hilaire est ponctuée de deux caches et d'une pissette qui ne nécessite pas d'enfiler le KWay. C'est maintenant que le tracé différe avec un passage aux abords de la zone Natura 2000. Je m'écarte du tracé pour aller faire un peu d'escalade au Pigeonnier du Breuil. Heureusement l'indice est précis car je ne me vois pas fouiller toutes les cases. Je rattrappe Brigitte et Mousse au ravito. La partie qui suit est peu rock and roll avec la traversée de Port Bourgenay et ses campings. Je fais un dernier détour pour aller valider la cache de la stèle commémorative du crash du Mosquito HR161 abattu par la DCA allemende le 5 juillet 1944. J'en ai fini avec le jeu, il ne me reste plus qu'à suivre le balisage plus ou moins bien positionné. Le gué du ruisseau de la Combe se fait les pieds au sec. Après l'Abbaye de l'Orbestier, on a droit à un single. Le contournement de l'aérodrome indique l'extrémité ouest du parcours. Je retrouve le ruisseau de la Combe avec une hauteur de gué suffisament haute pour laver les jantes. Mais c'est la remontée qui est un peu technique car il ne faut pas se louper. Platière humide et ornière. Et pour couronner le tout, je dois suivre une joggeuse jusqu'à la sortie de la vallée. Le chemin propre est roulant. La chaleur commence à faire son effet. Dans la descente du Guisseau, le balisage indique qu'il faut braquer à droite pour retrouver le gué. celui-ci aussi permet de laver les pneus. Le kilomètrage parcouru indique que la rando est presque terminée. Après le passage sous la rocade, je retrouve le balisage de l'aller et la bifurcation du 30km. C'est celle-là qu'il faut suivre et non le flèchage 45/60. Le complexe sportif est en vue. J'arrive en même temps que Brigitte et Mousse. Il ne reste plus qu'à faire la queue aux sandwichs et j'en profite pour discuter avec deux esonniens. Perdant au tirage au sort et aux récompenses, je file sur l'aire de lavage pour enlever les quelques mottes de boues qu'il reste. |
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