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Une éclaircie m'appelle à sortir le VTT. Pourquoi pas ! Voilà que j'en suis rendu à penser comme un routier. Ca n'est pas bon ! Sans doute les effets secondaires de la retraite. Maintenant que je suis assis sur la selle, il ne reste plus qu'à pédaler. J'irai bien sur la corniche. Mais en sortant de la forêt, le vent vient du nord. Alors aux becs, je remonte vers Orouet. Comme disent les routiers "il vaut mieux avoir le vent dans le nez au départ". Et c'est dans ces conditions que je vais vers Le Perrier. Comme j'improvise, c'est la piste cyclable qui m'emmène jusqu'à Pont-Habert. Je suis arrivé à mi-parcours, il faut déjà que je pense à trouver le chemin du retour. Et c'est par sallertaine que je décide de rentrer. La piste le long de la RD103 est encore inondée. Une occasion pour laver le VTT. De toute manière après le Moulin de Rairé, la piste est elle aussi submergée par les eaux. Après ces deux épisodes, les pieds sont trempés. Et c'est le bitume et le vent dans le dos qui me rémènent vers le centre-ville de Saint-Jean-de-Monts. Il ne me reste que du chemin blanc pour rentrer à la maison. |
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