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BONDOUFLE (91) |
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Ca y est, le cercle de confinement s'est élargi à 100 kilomètres. Ce qui fait que ce matin, je peux lâcher le chat. Non pas le vrai qui traine dans le quartier mais celui que j'ai créé sur l'ordinateur et que le parcours va dessiner. Et oui, je continue le GPS Drawing. Donc ça commence par sillonner BONDOUFLE pour tracer le détail de la tête. Je profite que le parc des Bordes est ouvert pour mettre les crampons sur la terre. Tiens un touriste qui a planté sa tante en lisière du bois. Arrivé à la barrière, je fais demi-tour pour sortir de la ville et partir vers VERT-LE-GRAND. Dans la grande ligne droite j'essaie de passer la plaque mais c'est trop dur. C'est fou ce qu'on perd à moins rouler. Si c'est dur pour moi, c'est encore pire pour un gars qui a abandonné son vélo et dort au pied des panneaux. "Ca va ?" "Oui, oui, je suis fatigué !" rien d'étonnant, lui aussi a voulu mettre la plaque sur son VTT mais rouler avec un masque, c'est plus compliqué. Je le laisse dormir au rond-point et je continue jusqu'au gué de Misery. Quest-ce que ça fait du bien de tremper les pieds. Puis j'emprunte le chemin de la procession qu'il y a bien longtemps que je ne suis pas passé par là. personne à gauche, personne à droite, je traverse la RD31 pour aller dans VERT-LE-GRAND pour tracer la patte de devant. A l'orée du Bois des Bordes, je fait demi-tour pour m'arrêter aux Noues devant la stèle érigée en hommage aux 10 membres de l'équipage du bombardier B24 abattu le 25 juin 1944. J'y aurais bien mis une géocache. Je m'arrête chez Lolo, le bar des aéromodélistes. mais c'est fermé. Alors je file vers le camp des gens du voyages. Tout le monde dort. j'aessiae une incursion sur leur domaine pour continuer mon dessin. La seule animation est une camionnette qui part "travailler" et les chiens qui aboient. Je suis arrivé au fond de l'impasse et je rebrousse chemin pour continuer et revenir en périphérie de VERT-LE-GRAND une dernière fois. Je file maintenant vers LEUDEVILLE. Au rond point, je loupe la sortie, ce qui m'oblige à faire un demi-tour non prévu. L'erreur réparée, je continue le tracé de la patte arrière qui se termine au rond-point des Cochets. Me voilà donc au pied de la deuxième ascension de la matinée. Il faut enjamber la voie de chemin de fer pour un aller-retour jusqu'à LA NORVILLE pour dessiner la queue. De retour sur le rond-point, je le prends pour retrouver la voie de contournement de la zone commerciale. Une chance, la circulation est très faible à ce moment là. Je me retrouve en zone urbanisée avec de nombreuses voitures qui me dépassent pour faire le dos du félin. Par contre à la sortie de PLESSIS-PÂTE, je suis à 10 mètres derrière un cycliste qui vient de me garde à bonne distance et aucune voiture ose doubler. Et là, il a le reflexe de tous les cyclos. Il se mouche par dessous son bras. Je m'acarte pour ne plus être dans son sillage. par lma même occasion, je profite qu'il ait ralenti pour lui passer devant. Je retrouve la portion innondée qui me ramène au rond-point de la Croix Blanche. Je me fais klaxonner par un breton. C'est Laurent D qui fait coucou en me dépassant. De retour sur BONDOUFLE, il me reste le contour de la tête. Et je commence par les oreilles avant de m'arrêter chez Michel LR qui vient de laver ses vélos. Après cette pause, je termine le bas de la tête et rentre à la maison. Presque 60 kilomètres au compteur. Majoritairement sur du bitume, il y a encore du travail pour parcourir cette distance à VTT. | |||
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Kilomètre 28.9, erreur de parcours
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58.6 kilomètres.
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127 mètres.
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Le terrain roulant
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Pas de ravito.
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Ciel bleu
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9 degrés au début de la sortie
18 degrés au retour
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