|
SAINT-REMY-LES-CHEVREUSE (78) |
|||
![]() |
ce matin, je pensais être le premier sur le site de départ de la rando, mais Skippy était déjà là à ficeler sa plaque de guidon. Je passe aux inscriptions. Le tarif est libre car c'est sous forme de don avec un minimum de 10 euros pour pouvoir bénéficier de la réduction fiscale. Au moment de prendre le café d'accueil, on nous réclame un euro. Comme dirait l'autre "A votre bon coeur messieurs dames !". Ca se voit que c'est le Lyons club qui gère les finances. Ils ne risquent pas de faire faillite. J'espère surtout qu'il ne va pas falloir débourser un euros aux ravitos. D'ailleurs, j'apprends qu'il n'y a que deux ravitos sur le 70km. Je vous laisse imaginer la langue qu'on va tirer. Et me voilà parti hors parcours pour aller geocacher au musée Raymond Devos, le roi des jeux de mots. Je retrouve le parcours et les premiers participants au pied des escaliers. pour ma part j'opte pour le tracé des randonneurs. C'est par une montée à 24%. J'imagine le parcours officiel pour tous les participants et surtout les 25km. De quoi les dégouter du VTT. j'arrive au bassin du Buisson pour une première cache. puis je reprends le tracé dont l'entrée dans le bois est cachée par les bagnoles. j'opère à deux raccourci avant d'arriver à ROCHEFORT pour une deuxième cache. La prochaine est loin, alors je peux accélerer l'allure, mais les montées à 20% alternent avec les pentes du même ordre. j'arrive dans la forêt de la madeleine pour faire un détour et valider une cache. Pour la définition, il fallait penser à Raymond Devos pour s'apercevoir du jeu de mots sur l'arbre à citrons. Je récupère le tracé après une pente ravinée. la montée, oscillant entre 24 et 32%, sur beauregard me rappelle une certaine nocturne des renards. Juste avant d'arriver sur Romainville, la pluie invite à sortir le kway. J'ai quand même eu droit à 1h30 de temps clément. En chemin vers le pont de Rhodon, je m'arrête pour aider Jérôme qui a crevé avec sont VTTAE. Avec son copains, ils n'arrivent pas à regonfler. Alors je sors ma pompe et arrive à obtenir un pneu suffisamment gonflé. Mais pendant que le shadok pompait, je comprends que ça ne va servir à rien car, il n'a pas mis de produit préventif depuis quatre mois. Le verdict est validé dès les premiers tours de roues. Je continue ma récolte geocaching et m'aperçois que la vis de la cage de ma pédale droite est dévissée. Je sors le rilsan pour réparer. C'est bien la première fois que ça m'arrive. A SAINT-LAMBERT, je m'arrête à la mairie dénomée "mairie qui qui" pour le geocaching. tellement elle est petite. Ensuite je cafouille un peu pensant que la suivante était proche. je me sens moins seul avec les parcours 46km que je viens de rejoindre. J'arrive à la Grand Maison où se trouve le premier ravito. Et oui, vous ne révez pas ! 29km sans se ravitailler. Avec le dénivelé avalé et les conditions climatiques, c'est inhumain ! D'ailleurs la pluie s'est arrêtée de tombé au bout d'une heure. Inutile de s'attarder car le temps passe et il me reste encore 25 kilomètres à parcourir car je me suis concocté un parcours intermédiaire de 56 km. Le problème est qu'en haut de la route des 17 tournants, j'ai du loupé quelque chose car je suis sur un sentier non balisé. Sur ma gauche je vois un chemin qui descend avec une pente de 24%. Auant vous dire que la position du descendeur est adopté d'office. J'aurais pu éviter ce passage mais je voulais passer devant le château de DAMPIERRE-EN-YVELINES. Je récupère le tracé en remontant sur la plaine. Et à la première bifurcation, je quitte le tracé officiel pour aller valider les caches. Mais la descente que j'avais choisi pour raccourcir le tracé est trop importante et surtout trop dangereuse car sablonneuse à 25% et jonchées de racines et de rochers. Je retrouve le parcours et un vététiste qui est surpris de me voir arriver de par là. Je fait une pause pour observer les ruines de l'abbaye de Cernay. Je rattrappe le participant avant le deuxième ravito proportionnellement bien placé. A SENLISSE, je quitte de nouveau le tracé. mais en montant la côte la chaîne s'embrouille dans le pédalier et arrivé au sommet je constate qu'elle a réussi à passer entre les plateaux 22 et 34. Voilà ce que c'est de croiser la chaîne. Au moment de repartir, c'est un crachin qui m'oblige à refermer le Kway. Le raccourci me fait passer par un chemin interdit aux vélos mais pas aux VTT. De toutes manières vu l'état du chemin raviné et chargé en escaliers en rondins de bois humides, le mode piéton est le plus prudent. Je récupère le tracé devant le château de Breteuil pour l'abandonner à HEROUVILLIERS car j'ai une série de caches à valider. Je récupère la dernière boîte à Montabé et par la même occasion le tracé et le participant que j'ai quitter au pied de la côte de Senlisse. La fin, sans le crachin, se termine en circulant sur l'ancien tracé de l'ancienne ligne Paris-Limours. Le tout en descente de 2.5 kilomètres. L'arrivée est bout de la ligne courbe. L'organisateur, toujours aussi radin, réclame les plaques de guidons en échange du sandwich. Vu l'état de la mienne que j'ai dù arracher, ne resservira pas en 2020. | |||
|
||||
![]() |
Kilomètre 0.8, détour géocaching
Kilomètre 3.3, raccourci Kilomètre 5, raccourci Kilomètre 6.05, racourci Kilomètre 10.7, erreur de parcours Kilomètre 13, détour géocaching Kilomètre 20.3, assistance à participant. Kilomètre 23, bricolage pédale de Loulou Kilomètre 25.3, erreur de parcours Kilomètre 29, erreur de parcours Kilomètre 33.9, raccourci Kilomètre 44.3, raccourci Kilomètre 44.6, problème chaîne pour Loulou Kilomètre 49, raccourci |
|||
![]() |
55.2 kilomètres.
|
1086 mètres.
|
![]() |
|
![]() |
Le terrain humide mais roulant.
|
Ravitos aux kilomètres 28.7 et 41.9
|
![]() |
|
![]() |
Ciel légèrèment nuageux
Pluie et vent |
13 degrés au début de la sortie
15 degrés au retour
|
![]() |