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Ce matin, je retourne dans les Yvelines presque dans le même secteur que la semaine dernière. La température a considéremment baissé car j'ai mis les manchettes. Je m'inscris sur le 40 kilomètres car cet après-midi je suis attendu pour encadrer une cyclodécouverte. Je retrouve Pandore pour un petit bavardage. Déjà, je n'emprunte pas le tracé officiel car j'ai deux caches à trouver sur la ville de départ. Mais pour la première, j'oublie de m'arrêter car je pensais qu'elle était plus loin. "Mais pourquoi n'ai-je pas regarder mon gps ? ". Pour la seconde qui se trouve au chateau d'eau reconverti en mur d'escalade, je ne peux pas le louper. L'occasion de valider le geocaching et la ciste avant de retrouver le parcours. Après avoir traversé la RD836, je rabote encore un peu le tracé pour le retrouver au bout de la ligne droite. Il ne me reste plus qu'à prendre un rythme de croisière soutenu pour gagner un peu de temps pour la deuxième partie. Une fois la barrière de péage de Saint-Arnoult contournée, je retrouve la forêt de Dourdan et ses parties sablonneuses mais aussi ses bons dénivelés positifs. Le ravito est déjà là. La chaleur a envahi le corps et je laisse tomber les manchettes. La partie qui suit est roulante et même très roulante. Excepté avant l'arrivée sur BOUC-ETOURDI ou le chemin tabasse un max. Au coin du Bois Feuillu, je bifurque vers la ferme des Tourelles pour valider une cache mais sur le chemin je surprends des faisans. ceux-ci en s'envolant me canardent de crottes. Je retrouve les participants le long du mur du château de Bandeville mais aussi le sable. Une fois passé sous l'autoroute, c'est la dernière bifurcation possible pour terminer sur le 40 kilomètres. C'est justement celle-là que je prends jusqu'au Voies Blanches. car je me suis concocté une portion geocaching avec pas moins de neuf boîtes à trouver. Après avoir mis la main sur quatre boites, et doubler plusieurs fois les trailers et les cavalières, je quitte de nouveau le parcours pour rouler en sens inverse du 55/70 kilomètres. c'est d'ailleurs là que je croise Philippe qui en termine avec le 55km. Un peu de bavardage fait du bien sur cette sortie en solo pour nous deux. Au carrefour des jumelles, je fais chou blanc sur la cache et repars vers le siège royal. Toutes cette portion de géocaching est celle dont j'avais fait l'impasse il y a huit jours. j'ai bien fait car la côte que je viens de monter est pentue. Les trailers précèdemment doublé prennent le large en me laissant littérallement sur place malgré le 22/42. Je retombe sur le tracé du 55/70 avec les trois boites dont une qui se trouve à côté de la draisienne de la famille Pierre à feu. Le regroupement des 40/55/70 se fait juste avant la dernière cache. Libéré de la quête geocaching, je reprends le rythme du vététiste qui n'est venu là que pour rouler. Surtout que c'est du bitume suivi de l'ancienne voie ferrée avec un single en surplomb qui nous amène directement à l'arrivée. De retour à la maison, je constate que mon RR8.0 a dépassé en kilomètrage celui de mon RR5.4 en 5 ans contre 9 avec le vert et blanc. |
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