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| Alors ce matin, je devais prendre Jean-Mi pour descendre aux Sables d'Olonne. Mais, un imprévu l'oblige à rester au camping. Alors je passe devant le camping sans m'arrêter. Un nouveau tronçon cyclable a été inauguré et ça doit être celui qui se trouve juste après le camping. Le parcours de l'aller va se faire à travers les maïs, les blés et les vignes. Après SAINT-GILLES-CROIX-DE-VIE, je pars vers GIVRAND puis LA CHAIZE-GIRAUD. Pour remonter sur la plateau qui mène à LANDEVIEILLE, il faut grimper à la pente à 20%. Pour filer sur LA BRADIERE, j'inove un nouveau parcours pour me ramener à la passerelle des gendarmes. Mais au hameau, je ne traverse pas la RD38 et je remonte vers la piste de karting. A L'ÎLE OLONNE, je passe au large pour aller contourner OLONNE-SUR-MER. Les chemins sont fréquentés par les tracteurs et les arrosés par les jets qui débordent. C'est bizarre car normalement ils ne devraient pas arroser dans la journée. Je viens d'emprunter la RD80 quand je vois sur des géocaches sur le gps. Alors je décide de modifier mon tracé. Mais sans définition, il est difficimle de chercher, d'autant plus que j'ai l'impression qu'il faut grimper. Alors sans m'attarder, je file vers la ville. A CHÂTEAU-D'OLONNE, je retrouve la civilisation jusqu'à la grande plage des SABLES-D'OLONNE. Jusque là, le timing que je me suis imposé est bon. Je m'arrête prendre un café à notre restaurant habituel. Après cette pause, il faut repartir si je ne veux pas arriver trop tard. Mais cette fois-ci c'est un tracé que je connais bien, car c'est le tracé de l'eurovélo. Le souci est que le vent a tourné et m'oblige a pédaler plus fort. La partie forestière m'abrite un peu. A La Gachère, je sors de mon tracé pour voir où mène le nouveau tronçon de piste cyclable. En fait il contourne le camping. Mais comme elle termine sans indications à suivre, je reprends la direction du tronçon initial. La piste est très peu fréquentée tout comme l'était le remblai. Et la corniche de BRETIGNOLLES l'est tout autant. Par contre la piste qui longe le Jaunay est déserte. J'arrive à SAINT GILLES-CROIX-DE-VIE et le carchin vient m'humidifier les avants-bras. Toute la traversée jusqu'au phare se fait sous la bruine. De retour le long de la corniche, le vent remplace les goutelettes. A SION-SUR-L'OCEAN, c'est l'heure du pique-nique. Ce qui fait que la piste est vide. Elle l'est dailleurs jusqu'au village DES BECS, là où je quitte la partie boisée pour retrouver la route qui mène à la maison. L'horaire prévu est respecté. |
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