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| Ce matin, j'ai préparé une sortie roulante sur la moitié du tracé. Ce sont les parcours de liaison aller et retour pour aller jouer du côté de l'Autodrome. Luc, Ludo, Frédéric, Mathieu Guën et Jean-Mi sont au rendez-vous dominical. Je n'ai rien annoncé sur le programme avant de partir. Nous prenons la direction de la Croix blanche pour récupérer la piste cyclable. C'est du bitume jusqu'au bassin de Carrouge. L'orge nous sert de guide jusqu'au bois de Chanteloup. Là j'essaie de résoudre mon problème de frein. Cette semaine j'ai refait les freins et j'ai mis trop de Loockeed. Ce qui fait que j'appuie comme un malade avant l'arrêt du VTT. Luc nous quitte car des impératifs l'oblige à être rentré à midi. Après avoir joué un peu dans le Bois de SAINT-GERMAIN-LES-ARPAJON, on enjambe la RN20 par la paserelle. Pour longer le terrain militaire et aller au Bois des Fosses, on est obligé de prendre un chemin qui vient d'être refait. Sur le bord ça colle un peu mais ça roule. Arrivés au bout, je ne sait pas pourquoi, Jean-Mi a voulu retourner sur le chemin. Et à la sortie, sous prétexte que Mathieu et moi bouchonnions le passage, il est allé tombé dans l'emplacement prévu pour le regard. Evidemment son genou favori est le premier à rencontrer le sol. La sortie de la trousse à pharmacie s'impose. Au même endroit, je constate que le gps too naze (twonav) s'est arrêté car la batterie est vide. C'est le problème des appareils à énergie nucléaire. La suite commence par une belle côte qui se termine dans une forêt d'épines transgéniques. Avec une taille de deux centimètres, c'est étrange qu'on ne crève pas en passant. Dans la côte qui remonte vers l'autodrome, on entend mathieu qui annonce une crevaison. Sur le plateau de Chantalouze, il nous fait une démonstration de ce qu'il a appris au stage animateur club la semaine dernière. Le contournement de l'Autodrome se fait par la descente vers la Francilienne. Et bien sûr on remonte par la seconde entrée du Bois de l'Autodrome. Comme l'heure tourne, je décide de raccourcir ce que j'avais prévu. On récupère le Parc de Bellejame après avoir emprunté le premier tunnel sous la Francilienne. Il ne nous reste plus que la côte du chateau d'eau de LINAS à gravir avant de retrouver la piste cyclable. Mais avant, Guën nous annonce à son tour une crevaison. Et bien sûr à la roue arrière, celle qui a le moteur. Une fois que tout est rentré dans l'ordre, il n'y a plus qu'à continuer la piste jusqu'à BONDOUFLE. Arrivé à la maison, une surprise m'attend dans mon assiette. Des pâtes en forme de vélo. Après le vélo que fait-on ? Eh bien on mange vélo ! |
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