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BAULNE (91) |
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Ce matin, je suis tombé du lit. J’ai prévu faire la liaison à VTT jusqu’au village de la « Journée du terroir ». Je suis parti tellement tôt que si j’y vais directement j’arriverai avec une heure d’avance. Alors je me lance dans la quête de géocaches en faisant un détour par LISSES et VILLABE. Mais la luminosité n’est pas idéale pour la recherche. Je fais une escale au CoDep91 Cyclotourisme, mon deuxième bureau, pour récupérer des flyers. Cette fois-ci, je repars vers MENNECY avec la traversée du parc de Villeroy. J’en sort par le raccourci. C’est après avoir passé le VTT par dessus le mur que je m’aperçois qu’un escalier de fortune me tend les bras. Je récupère le circuit touristique de la vallée de l’Essonne pour aller jusqu’à BALLANCOURT. A la sortie de la commune, je récupère l’itinéraire que je m’étais programmé qui coïncide avec l’horaire prévu. Je fais une escale à la chapelle Saint Blaise qui a été débroussaillée. Malheureusement la cache se trouve de l’autre côté et pour y accéder il faut se frayer un passage au milieu des ronces. Ouf ! Enfin la première trouvée de la matinée qui précède la seconde où je découvre un lavoir abandonné. De la route j’ai toujours que c’était une mare, mais il n’en est rien. Après cette dernière escale, je fonce vers le Moulin Fouché à BAULNE où Hommer et Sako m’attendent. Mais aussi Michel LR qui pointent les routiers dès leur arrivée sur le site. Le village commence à s’éveiller. La première réparation est faite au profit d’une participante dont son patin de frein est sorti de son emplacement. Les derniers cyclos arrivent dont Christophe B retardé par une crevaison. Les groupes Route et VTT sont formés et peuvent partir sur leur parcours respectif. Dans le mien je trouve Hommer, Sako, Michèle H qui est venue en famille avec Camille et Dean. Le tracé commence par du bitume afin de s’échauffer et de prendre ses repère sur son VTT. Le GR1 puis le GR11 deviennent nos guides jusqu’à ORGEMONT avec une escale dans la montée du Petit Bois. Le soleil chauffe énormément en cet automne et la température estivale impose de se dévêtir. Je regrette de ne pas avoir anticipé, car la seule solution que j’ai est de remonter les manches. S’en suit un plateau découvert pour aller jusqu’à VILLENEUVE-SUR-AUVERS. « Loulou ! On va visiter chamarande ? ». « Ah non, c’est sur le parcours route ». « Dommage ! ». « Mais avec une petite rallonge de 500 mètres, je peux vous proposer une visite d’une gravure rupestre ». Au carrefour du chemin des poupets et de la RD148 nous quittons le tracé en improvisant un tracé le plus direct possible. L’entrée du GR est un peu délicate pour les non initiés. La descente marquée d’une profonde ornière invite Michèle à descendre prudemment. Pensant que le chemin qui piquait vers la gauche était le bon on se retrouve au pied des rochers infranchissables. Après avoir fait demi-tour, le chemin nous amène face au Trou du Sarrazin. Je décroche mon phare pour éclairer la caverne et découvrir les gravurres. Bien sûr c’est en mode spéléo qu’il faut découvrir ce lieu. La côte vers la Ferme des Chevrettes est la dernière difficulté de la matinée. En bon métronome que je suis, nous arrivons à l’heure pour assister à la traite. Les routiers arrivent en petits groupes. C’est la queue à la boutique avant de sortir le pique-nique. La prochaine étape est la ferme de Nonserve à 4 kilomètres de là. Nous avons 45 minutes pour y arriver. Heureusement qu’une géocache introuvable se trouve à l’étang de MESNIL-RACOIN. C’est avec les routiers que nous pénétrons dans la cour de la ferme. Là on va nous détailler et faire goûter les produits dérivés du chanvre. La pause se termine par la visite du potager. Les 40 vélos repartent vers ORVEAU où je me fais un plaisir de faire honneur à ma devise en plongeant dans la seule flaque du parcours. A la croix des 4 chemins, nos chemins se séparent. Une dernière cache dont la boîte est rouillée se trouve sur notre itinéraire. En arrivant au village du terroir, je fais une démonstration géocaching sur la boîte que Hommer a validé ce matin. Avant de se quitter on profite des produits locaux autour d’une « bouledogue » une bière qui a du chien. Il ne me reste plus qu’à activer mon tracé retour et m’arrêter sur mes caches. Je ne les trouverai pas toutes car la luminosité et la batterie vide de mon smartphone ne permettent plus d’aafiner mes recherches. A la sortie de SAINT-VRAIN, la dernière cache « Simpson » sur le tracé est une dédicace à Hommer. Je contourne VERT-LE-PETIT pour arriver sur le gué de Misery où je surprends une ethnie d’outre-mer qui écoute à tue-tête leur musique. L’eau gicle sur le bord au franchissement de la rivière. C’est avec les pieds mouillés que je termine ma sortie touristique-gastronomique. | |||
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Kilomètre 28, batterie du smartphone vide.
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Parcours de liaison aller = 28 km
Parcours de liaison retour = 20.3 km Distance randonnée = 25.4 km Distance totale = 73.7 kilomètres. |
598 mètres.
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Le terrain roulant.
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Ravitos aux kilomètres 28, 39.1, 44 et 53.4.
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Ciel bleu.
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14 degrés au début de la sortie
25 degrés au retour
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