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Ce week-end, le Comité Régional de Cyclotourisme organise la Ligue à vélo. J'ai tracé les parcours VTT, alors j'ai décidé d'y aller pour accompagner ceux qui le désirent. Mais avant, il faut y aller car j'ai choisi l'option liaison à VTT. La température affichée n'est pas celle de la canicule, car jes suis à la limite de mettre les manches longues. En partant à 8h30, je devrait arriver vers midi pour 48 kilomètres. Au bout de 5 kilomètres, le premier incident vient rallonger le temps. Je viens d'ariver à la déchetterie et je roule sur une lame de ferraille. Et là, c'est la coupure du pneu et de la chambre à air. Comme je suis entouré d'immondices, je trouve du plastique et du fil de téléphonie pour la réparation. Une rustine, un emplâtre et cerclage avec le fil de fer pour que ça tienne les 130 kilomètre prévus pour cette journée. les premiers tours de roues confirme que la réparation tient. Je raccourci le tracé pour continuer en passant par VERT-LE-GRAND avec une géocache au passage. Y a longtemps que je ne suis pas passé par le chemin des clos à LEUDEVILLE. Le bosquet a laissé place à une dizaine de pavillons. Je file vers CHEPTAINVILLE via SAINT-VRAIN en validant quelques caches. j'attaque la côte de l'aéromodélisme du Bas de torfou, lorsque une violente douleur au niveau de la bretelle du sac à dos m'oblige à m'arrêter. Le fait de mettre la main à l'endroit où ça fait mal a fait que la guêpe qui venait de me piquer s'est trouvée écrasée. Mais je ne l'ai vu qu'après avoir enlever le maillot et le tee-shirt. car elle été rentrée sous les vêtements. Il ne me reste plus qu'à retirer le dard et désinfecter. Le mal va disparaître progressivement. J'approche d'un nouveau secteur de cache. Un polissoir se trouve à l'écart du chemin qui m'amène sur un gendrame mobile en faction au coin de la propriété présidentielle. Edouard Philippe, le premier ministre, est en villégiature pour le week-end à SOUZY-LA-BRICHE. pour rattrapper le temps perdu, je préfère prendre le tacot jusqu'à VILLECONIN et ensuite remonter sur Montflix. Il ne me reste plus que de la plaine jusqu'à MARCHAIS. Malheureusement je ne suis plus protégé du vent d'ouest que j'affrronte depuis ce matin. J'arrive à 12h45 après une belle dernière descente vers le Centre culturel de DOURDAN. Il me reste encore un peu de temps pour pique-niquer avec Hommer et mes copains de l'AS brévannaise. 14h10, j'ouvre le parcours du 45km pour 7 brévannais avec une première escale sur une cache avant de monter sur MARCHAIS. Le plat jusqu'à SERMAISE permet de se reposer. Dans la côte du cimetière, Jean-Marc casse sa chaîne. dans la côte du Bois de la Bretonnière, Hommer fait une petite chute de tension. Après cette pente avec 20% en pointe arrive un profil plus tranquille pour pouvoir souffler, mais il faut encore escalader dans le Bois Martin avant de repiquer vers le château du Marais. Après, c'est une autre difficulté qui nous attend avec la forêt sablonneuse d'Angervilliers. La fatigue commence à se faire sentir pour un brévannais qui chute après Bouc Etourdi. Nous traversons la D836 pour retrouver la forêt de sablonneuse de Dourdan. En commençant par un beau banc de sable à traverser. Après SAINTE-MESME, on rattaque la série des côtes dont celle encaissée qu'il vaut mieux éviter en prenant la contre allée. Le contournement de la plaine de l'Ouye offre un moment de repos. Dans la butte grise, Hommer resserre la patte de son dérailleur. Ah les mécanosde chez Décathlon qui ne savent pas serrer les boulons. Aux GRANGES-LE-ROI, il ne reste plus qu'un toboggan jusqu'à l'arrivée. Je reçois les félicitations pour ce magnifique tracé que je leur ai proposé. J'avale un encas avant de remonter sur mon VTT et revenir sur la maison. Pour le retour j'ai prévu 37km, mais vu l'heure tardive, je vais me contenter de prendre le chemin le plus direct et le plus roulant. C'est du bitume jusqu'à la sortie de SAINT-CHERON. Une portion de terrain sablonneux avec le Bois de Chantropin jusqu'à SAINT-YON est la seule difficulté. Je retrouve la piste cyclable à ARPAJON qui me permet de rouler plus rassuré car la nuit tombe. Il est temps d'enfiler le Kway fluo et allumer les phares. Il est 21h40, lorsque je franchi le pas de porte de la maison en étant satisfait que la réparation à la Mac Guyver ait tenue.
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