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PONTHIERRY (77) |
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Alors ce matin, je devais rouler avec Jean-Mi. Mais à 8h00, je suis seul au rendez-vous et à m'élancer sur le tracé géocaching que je me suis fait. Je prends le direction Montaubert puis le bois d'Echarcon avec des oies et un chevreuil comme supporters juste avant de faire l'ascension du télégraphe. Au sommet, j'ai la surprise de constater que l'EDF a rasé tous les arbres situés sous la ligne électrique. Offrant ainsi une belle vue dégagée vers le nord. Dans la traverséée du Bois, je surprends un deuxième chevreuil. J'enchaîne par une descente vers ECHARCON où deux caches m'attendent. Mais elles ont disparues, donc je ne valide pas. A ce moment là Jean-Mi m'apppelle. Pensant que le départ était à 9h00, il a fait la grasse matinée. "Tu fais géocaching, alors je pars à ta poursuite". "Ok, je reste sur le tracé". N'ayant pas de caches avant des kilomètres, je déplace un peu de pousssière par la vitesse. A Sainte-Radegonde, j'échappe à l'arrosage automatique sur le champ de chanvre. Le long de l'autouroute A6, deux chevreuils sont surpris en entendant le cliquetis de la chaîne. A la limite entre l'Essonne et la Seine-et-Marne, je recommence ma série de géocaches. ce sera 3 boites trouvées jusqu'à TILLY. En arrivant au panneau pente à 16%, je m'aperçois que j'ai loupé la cache de statue de Patton. J'aurais pu m'éviter le demi-tour, car je suis obligé de repartir sans noircir le logbook. Dans la descente, je m'arrête sur une curiosité. C'est un lavoir circulaire. Je récupère le bord de Seine au monument de la 2ème DB. Sur le chemin, j'ai encore 2 boîtes qui me sourient avant de passer sur le pont à PONTHIERRY. De l'autre côté de la Seine, je repars sur une nouvelle cache. Mais en arrivant au changement de direction, je constate encore une fois que je suis aller trop loin. Une deuxième demi tour me ramène sur l'emplacement. Je pose mon vélo et commence à lire la description quand Jean-Mi arrive. Il est 10h55 et j'ai eu le temps de parcourir 32 kilomètres le temps que Jean-Mi répare sa crevaison survenue au moment d'enfourcher son VTT. Ce qui fait qu'il est parti avec un handicap d'une 1heure. "Ce sont tes caches qui t'ont retardé autant?" Nous repartons vers la cache qui se trouvesur la Plaine de l'Ormeau. La recherche est vaine et m'impose de raccourcir le parcours en évitant de passer au pied des antennes de Sainte-Assise. La grande allée se termine par un single en desnte qui débouche non loin de la station d'épuration. A SEINE-PORT, nous reprenons le tracé qui se complique à la sortie de NOISEMENT avec un chemin totalement en friche avec obligation de rouler en bordure du champ. Jean-Mi ayant un peu de mal dans les côtes et dans cette portion, je prends un peu d'avance pour m'arrêter sur la cache de NANDY. J'indique "Non trouvée" sur l'appli c:geo avant de repartir. Dans la Forêt du Rougeau, je prends un peu d'avance car la poussière gène Jean-Mi. Juste avant de franchir l'écluse de MORSANG-SUR-SEINE, Jean-Mi se retrouve "batterie vide" sur son téléphone. Comme il ne peut plus suivre la trace, il ne me reste plus qu'à ralentir l'allure. A ORMOY, je raccourci encore le tracé qui devait nous faire contourner le centre commercial de Villabé. une fois la côte d'Ormoy franchie, il n'y a plus de difficulté car c'est l'aqueduc qui nous emmène jusqu'à l'entrée de BONDOUFLE. nous terminons la sortie avec une dernière escale sur une cache qui n'est pas trouvée. |  |
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Aucun incident à signaler. |  |
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64.1 kilomètres. | 445 mètres. |  |
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Le terrain roulant. |
Pas de ravito |  |
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Ciel bleu |
14 degrés au début de la sortie 23 degrés au retour |
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