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BONDOUFLE (91) |
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Du soleil prévu pour tout l'après-midi. Mon RR8.0 n'est toujours pas réparé, alors j'ai repris le RR6.3 auquel j'ai consolidé la réparation provisoire. Il n'y a pas foule au PAJ. Mathéo et Alexandre sont encadrés par Jean-Mi, Frédéric et moi-même. Au programme je commence par emmener le groupe vers les bosses, histoire de chauffer les muscles. Après une série d'escalier, Frédéric nous emmène vers la côte qu'il a repéré en passant en voiture. Le long de la RD31, Effectivement, il y a la colline qui cache le Bois des bordes à grimper. et à redescendre pour revenir sur le chemin qui nous ramène au sommet de cette même colline. la piste cyclable jusqu'au deux rochers est devenue la traditionnelle voie de sortie. Mais à la ferme de Montauger, nous repartons vers la zone de travaux et jean-Mi propose de vérifier si le chemin vers le Bois des Folies est de nouveau ouvert. Il reste encore quelques centaine de mètres sur la fin où il faut longer dans le champ. Le contournement du Bois nous ramène au précédent croisement pour remonter la bosse vers la Plate-forme écologique puis le centre équestre. Au bout on aperçoit le Bois d'Echarcon que nous allons escalader et traverser pour ariver au sommet de la descente. Il ne nous reste plus qu'à nous diriger vers le cimetière d'ECHARCON pour remplir le gourde d'Alexandre. Nous profitons de l'ombre à la cave Renard pour avaler le goûter. J'en profite pour faire un règlage de dérailleur avant. Comme le temps a passé vite, il ne nous reste plus qu'à repartir par le chemin le plus court. Deux propositions sont faites. La première est de traverser les flaques situées sur le chemin qui mène à la centrale à béton. La seconde est de refaire à l'envers le chemin emprunté à l'aller. Et je propose la troisième solution qui se découvre au fur et à mesure où on avance. En fait on contourne le Bois d'Echarcon par le bas. L'herbe n'est pas encore fauchée et je marque le chemin pour les suivants. Le passage pour rentrer dans le bois n'est pas nettement indiqué mais nous rentrons quand même. Jean-Mi facilite le passage des rochers. Deux solutions s'offraient à nous. Et au lieu de prendre la montée, j'ai préféré longé l'orée du bois par l'intérieur. Seulement, les ronces ne nous facilitent pas la tache. Et c'est tout griffé que nous arrivons à la bifurcation suivante. Cette fois-ci on monte pour retrouver la zone sablonneuse sous les lignes haute tension. La descente du Télégraphe se fait sans soucis et la montée vers la ferme de Montauger se fait facilement. Il n'y a plus de difficultés jusqu'au point de dislocation du groupe. |
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Kilomètre 16.6, règlage dérailleur avant pour Loulou
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26.1 kilomètres.
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177 mètres.
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Le terrain roulant.
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Pas de ravito
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Ciel bleu
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20 degrés au début de la sortie
24 degrés au retour
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