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BONDOUFLE (91) |
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Ce matin, tout le monde s'est débiné pour la sortie a l'exception de Guën que je retrouve au rendez-vous. Les routiers eux aussi étaient présent dans les mêmes proportions (1 pour 6). Inutile d'attendre plus de monde et nous accompagnons les routiers jusqu'à la sortie de la ville, puis nous partons vers la ferme de Montaubert. j'ai prévu un tracé d'une cinquantaine de kilomètres qui convient très bien à Guën. MISERY n'est qu'un point de passage avant le GR11 le long des marais de l'Essonne qui est détrempé par endroit. Nous arrivons à la barrière lorsqu'un grand crac fend le silence. Je demande à Guën si c'est la chaîne. "Non la selle" me répond-il. Après analyse de la situation, les vis sont cassées. La solution des colliers plastiques s'impose. il en faut 4 et la selle est fixée. Guën met fin à la sortie pour rentrer chez lui et moi je continue. Le premier arrêt se fait au bout de la rue pour une première boite magnétique. Ensuite vient une cache le long de l'Essonne, trop compliquée à dévoiler sur laquelle j'abandonne. Je reprends le tracé jusqu'à la prochaine cache qui se trouve aux vieux ponts de BALLANCOURT. Une fois trouvée, je repars en faisant un crochet vers le moulin d'Itteville avant de foncer vers le Château du grand Saussay pour la partie ludique dans le bois. Je passe sous la RN191 pour aller vers la deuxième partie pentue du parcours. Je ne peux pas me tromper car c'est indiqué "Roches du Père la Musique". Jusqu'au panneau d'information tout va bien, c'est après que ça se complique. Un chemin de muletier à 32% m'oblige à porter le VTT. Tout ça pour aller valider une cache qui se trouve presqu'au sommet. J'avais prévue jouer dans le Bois de la Coudraye, mais le temps passé sur la panne et les caches m'obligent à raccourcir. La partie qui suit est plate me permettant de me reposer. Avant de rentrer dans le Bois de la Garenne de la Padole. Un bruit assourdissant vient perturber ma pause. Ce sont deux avions de chasse qui font des ronds dans le ciel en attendant un bipoutre. Normal, il ne volent pas à la même vitesse. Le silence étant revenu, je continue vers BEAUVAIS puis la Forêt des Grands Avaux. J'ai une tortue à escalader pour lui retirer la cache de sa gueule. Il y a bien longtemps que je ne suis pas passé par là. les singles m'amènent à l'église de CHAMPCUEIL où je devait trouver une boite malheureusement disparue. La prochaine portion sera plate. je fais quand même une pause le long du Golf de Chevannes pour une cache. la traversée de MENNECY se fait par l'aqueduc que je quitte un bref moment à ORMOY avant de remonter sur l'autre flanc. Je monte à la même vitesse qu'un jogger, enfin j'essaie car j'ai l'impression qu'il survole la difficulté. Sur le plat qui suit, il n'y a pas photo. Je fais une dernière escale sur la cache que je n'ai pas trouvé samedi. Et même constat. C'est après un beau parcours que j'ai légèrement écourté que j'arrive à la maison. Ce qui fait qu'il me manque 2 kilomètres pour les 200 en trois jours. |  |
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Kilomètre 8.9, casse de la selle de Guën Kilomètre 20.6, parcours écourté. |
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52 kilomètres. | 501 mètres. |  |
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Le terrain roulant. |
Pas de ravito |  |
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Ciel bleu |
10 degrés au début de la sortie 24 degrés au retour |
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