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MORMANT (77) |
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Ce matin, il n'y a personne qui se manifeste au rassemblement, alors je pars seul à MORMANT. Aux inscriptions je retrouve Hommer et sa bande. Plutôt que de rouler tout seul, je me greffe au groupe brévannais. Il fait frais au départ. certains ont gardé les manchettes. Un rythme de sénateur qui n'empèche pas de se tromper. Enfin il faut dire que le fléchage bleu au sol avec le soleil en face se voit guère. Je me mets en serre-file afin d'aviter de m'échapper car ce n'est pas l'envie qui me démange. Tout se déroule à merveille en faisant attention à la rosée qui rend légèrement glissant les chemins. Mais après le Menhir de la pierre couvée, on rentre dans le bois et je pars en vrac dans la bouillasse à l'entrée du bois. Christine a eu moins de chance en se couchant dans la boue. Toute la montée alterne les portions grasses et humides. Sur le plat on retrouve un gars de Quincy qui devra rentrer directement chez lui à cause d'un pédalier desséré. Je ne donne pas de nom car il ne veux pas que sont président l'aprenne. Chut !!!. La descente est dans le même éta que la montée. Le premier ravito se pointe au carrefour identifié par une Géocache. Pendant que certains se jettent sur les victuailles, je logue la boite et j'en profite pour valider pour Hommer et Val. Nous repartons à peine qu'il faut déjà s'arrêter pour une deuxième boîte à débusquer. Ce que je fais rapidement. Pendant ce temps mes copains de matinée s'échappent. Et ce n'est pas le temps que je passe sur la cache à la sortie de VERNEUIL-L'ETANG qui va me permettre de recoller. Je rejoins la troupe à l'entrée du Bois de Vitry en train de réparer un bris de maillon. Nous sommes dans la deuxième portion bouillasseuse. Je provoque un nouvel arrêt pour chercher une cache qui restera non trouvée. La portion détrempée et jonchées de belles mares m'écarte à nouveau du groupe, surtout que je m'arrête encore pour une cache facile à touver. Sur le GPS, je ne vois plus d'icone "Trésor", je vais pouvoir rouler. Les bosses s'enchaînent jusqu'à CHAUMES-EN-BRIE puis un terrain légèrement plus aplani déroule sous les crampons. A COURTEMER, au bout du champs, j'aperçois une camionnette et un barnum avec du monde autour. Mais pas de fléchage qui doit m'y envoyer. Alors tant pis, j'y vais. Mais en passant devant, je constate que ça n'est pas le ravito. Je décide de continuer plutôt que de revenir sur mes pas. Des herbes hautes et de l'herbe fraichement coupée sur des crampons de tracteurs, ça n'arrange pas la moyenne. A POMPIERRE, je retrouve les gars que je venais de dépasser avant l'erreur de parcours. A SEGRE, c'est ravito. La bonne nouvelle c'est que les brévannais viennent de tourner en haut de la côte. La mauvaise est que je n'ai que des miettes d'orange pour me ressourcer. Heureusement qu'il y a toujours une barre de céréales dans le sac. Je me donne 10 kilomètres pour rattraper l'équipe aux couleur du colza. comme le soleil inonde la matinée depuis un bon bout de temps, la poussière montre que j'avance. Ce n'est pas le participant que j'ai doublé à 44km/h devant l'ancien monastère de Cordoux qui va me contredire. Au sommet de la dernière rampe, une grande ligne droite se profile. Au bout, je suppose que ce sont mes potes. Et dans la deuxième ligne droite je reviens comme une balle et les dépasse par le milieu. Il n'y pas beaucoup de place pour trois guidons, mais ça le fait. Je peux terminer sur le rythme du départ car la sortie arrive à son terme. A l'arrivée, je n'ai pas de chance au tirage au sort et file direct au sandwich et boisson. |
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Kilomètre 39.5, erreur de parcours
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60.8 kilomètres.
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452 mètres.
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Le terrain roulant
quelques portions boueuses. |
Ravitos aux kilomètres 16 et 47
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Ciel bleu
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9 degrés au début de la sortie
23 degrés au retour
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