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| Guy déclare forfait. Sa main le fait trop souffrir. c'est donc avec Eric, Jean-Mi, Guen et Roland que je pars sur cette sortie de moyenne difficultés. Nous commençons par 8 kilomètres de roulant en passant au pied de LAON avant d'ataquer la saison 3 de Koh-Lanta. Une portion d'arbre couchés en montée. Cete zone nous amène sur le plateau où logiquement on aurait du voir le tombeau de Brunehaut. Mais voilà, je n'ai rien vu. Vient ensuite une série vallonnée. Puis s'en suit une zone où la recherche du chemin est nécessaire car inexistant ou saccagé par les remorques des débardeurs.Des ornières profondes et gorgées d'eau ou bien marquées par les crampons guident notre trajet vers PREMONTRE. La seule rencontre que nous faisons ce sont quatre cyclistes hollandaises qui font la pause à la Haute Borne. Roland en profite pour lier le contact et reviens avec un cookie. Ce n'est pas tout, mais il nous faut continuer. Je fausse compagnie à mes camarades pour aller visiter la cour du cloître reconverti en hôpital psychiatrique et gériatrique. Je ne m'attarde pas des fois qu'ils me prendraient pour un patient qui s'échappe. A la sortie du village, il nous faut encore adapter le tracé pour retrouver la voie forestière de Crépy à Coucy. Mais au bout, c'est entre colza et orties qu'il faut avancer. Je propose un remède de grand-mère pour estompé la douleur des piqures envain. Le plantin, n'ayant pas enchanté le groupe, nous repartons pour trouver le bitume à COUCY-LA-VILLE où un vide grenier envahi les trottoirs. Chaque habitant ayant disposé son stand devant chez lui. Au pied du mont abritant la fausse bertha, Roland resserre son pédalier. pendant ce temps je me fais une série de caches. les autres étant affamés ont préféré retrouver Guy au resto. Ce n'est pas aujourd'hui qu'on mangera au Fast-Food. Guen, ayant eu les yeux plus gros que le ventre n'a pas pu finir. Et je l'ai aider à rendre une assiette vide. On repart de COUCY-CHATEAU-AUFFRIQUE après avois validé les carton Voyageurs Itinérants et Brevet Cyclotouriste National. Encore une fois on déroge à l'habitude en prenant une descente après le repas. jean-Mi et Roland trop intéressés par la décharge d'adrénaline ont oublié de tourner.Le regroupement se fait dans la vallée pour la deuxième partie de la journée. Après s'être enfoncé dans le bois, nous sommes contraints de revenir sur nos pas afin de chercherun "plan B". Après le passage à niveau de PINON, où j'ai droit à m'arrêter pour laisser passer le train, vient une deuxième zone de turbulence où le petit Poucet a semé des grains de maïs.Mais nous sommes presque sortis de ce secteur que je viens m'embroché sur une branche horizontalement placé dans le sens de la marche. La bretelle de mon sac à dos ayant amorti le choc, c'est Jean-Mi qui vient me décrohé. Au regroupement, pendant que je me badigeonne d'arnica à l'aisselle, certains qui n'étaient pas là réclament des photos. Je n'ai même pas le temps de rhabiller qu'il ne reste qu'Eric m'accompagner. A ANIZY-LE-CHÂTEAU, je m'arrête pour faire une photo et me retrouve seul pour finir le parcours. En chemin, je profite de ma vitesse d'escargot pour valider 4 caches. La dernière étant aussi l'occasion de faire ma pause barre de céréales. Les autres qui sont à environ 2 kilomètres devant m'attendent. Au rythme de l'escargot, je les retrouve. Ma vitesse de croisière dicte celle du groupe jusqu'à l'hôtel. |
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