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SOURDUN (77) |
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Alors ce matin retour en Ile de France pour une rando qui aurait dû être sympa. Mais voilà la pluie est tombée cette nuit et on a eu droit à une rincette en arrivant sur le parking. Eric et moi-même passons aux inscriptions pour 45 kilomètres avec un cadeau et une plaque de cadre avant de s'élancer. Ce n'est pas la bousculade ce qui nous permet de déguster notre café et la viennoiserie. "Ce n'est pas tout mais si on partait !" et oui j'ai rencontré Memel (président du VTT Verneuil), alors ça papotte. Le ton est donné au bout d'un kilomètre et demi. Les chemins de glaise et de cailloux sont détrempé. Ce qui fait que la vitesse ne va pas être élevée pour arriver à gouverner ce VTT qui n'en fait qu'à sa tête. Nous rentrant dans le bois et là nous sommes gâté car le sol est seulement humide. Avec cette température hivernale, on s'est couvert un peu trop. ce qui fait qu'au bout de 7 kilomètre, la séance effeuillage commence. Mais aussi la réparation pour Eric. Le prolongateur de son guidon s'est desséré. La galère recommence au contournement de BLUNAY avec un chemin qui devient de plus en plus gadouilleux. J'en profite pour prendre un peu d'avance. Le raccordement 15/60 km n'est pas clair et Eric prend le petit parcours à contre-sens. Jusqu'à se dire qu'il y a un souci. De mon côté, c'est la cocotte minute sous le Kway, alors j'en profite pour l'enlever. La pluie se réinvite au moment le plus critique sur une portion bouillasseuse. Aux usages, le temps de renfiler le Kway Eric me rejoint. Et là, on pensait avoir tout vu. Et bien non ! une boue qui s'aglutine partout. Mais ça colle un peu. Ce qui fait que le VTT pèse au moins 30 kilos. Je suis obligé de débourrer asesz souvent. Je pensais que les 3 gars qui suivaient Eric étaient eux aussi sur le 45, jusqu'à ce que la bifurcation "32" se présente. Au fond des daims, la côte Strava se présente. Mais vu l'état du sol, je ne pensais pas que les records vont être battus. Au sommet, le moral revient avec l'arrivée sur le ravito. Un accueil frileux avec les ravitailleuses blotties sur leur banc à l'abri sous le barnum. Là on apprend qu'il y a eu de la casse. Vu l'heure Eric propose de rentrer par le chemin le plus court. Il n'y a plus de plaisir à sillonner le tracé alors je l'accompagne. Une petite dernière portion de chemin avant d'arriver sur le bitume. Je suis bien à l'abri derrière son camarade mais je prends le relais pour lui faire profiter de l'arrivée en ville sans le vent de face. Aujourd'hui, je fais une exception en m'arrêtant à l'aire de lavage avant d'aller avaler mon sandwich et terminer ma causette avec Memel. |
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Kilomètre 7.15, resserrage prolongateur de guidon pour Eric.
Kilomètre 22.8, retour par le chemin le plus roulant. |
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29.2 kilomètres.
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408 mètres.
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Le terrain boueux.
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Ravitos aux kilomètre 22.4
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Ciel couvert
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10 degrés au début de la sortie
11 degrés au retour
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