SORTIES VTT DE LOULOU

dimanche 08 octobre 2017 - la tracknart

	QUINCY-SOUS-SENART (91)
	Ce matin, je suis seul à partir de BONDOUFLE à VTT. Eric et Jean-Mi ont préféré la voiture. C'est donc avec une demi-heure d'avance sur les autres que je décolle. Phare allumé, car curieusement en ville, il fait nuit. Dès que je passe le panneau de sortie de ville, le ciel est dégagé. J'ai pris le chemin le plus rapide pour aller au départe de la rando. A cette heure là le rond-point de la D446 passe sans souci. Je me sens d'ailleurs un peu seul au milieu de cet infrastructure. J'anticipe la sortie du parc des Aunettes en débouchant plus tôt que prévu. L'arrivée sur le pont de la Seine m'annonce que je suis à mi parcours. Mais il y a la côte qui remonte vers le Golf a escalader avant de chercher la cache. En trois secondes c'est dans la boîte, ce qui me permet de repartir directement car je n'ai plus de boîte jusqu'à la fin du trajet "aller". Excepté 2 biches et leurs faons, ce sont les seuls que j'ai rencontré. Au Gymnase, je retrouve Eric, Roland et Jean-Mi en train de décharger les vélos. Au inscriptions, je retrouve Isabelle D. qui n'avait pas vu que c'était une rando road-book pour les petits parcours et GPS pour les grands. Ce n'est pas grave à la BAC on acepte tout le monde. Un peu étonnée des termes que nous employons avec Roland lors de nos échange sur le Géocaching. Comme j'en ai repéré quelqu'unes, le groupe pourra ainsi rester soudé. Les inscriptions faites, nous voilà partis sur le 65 kilomètres. Sauf Roland qui a déjà filé. Je suis en tête pour la sortie de la ville. Et jusqu'à ce que nous retrouvions Roland en opération regonflage, tout allait bien. Mais c'est à l'arrivée dans au parking de la Borne blanche. C'est de la navigation GPS tracée à l'instinct, car les changements de caps sont fréquents et dès qu'on lève les yeux de l'écran, on est déjà hors trace. Surtout si tu suis des particpants qui subissent eux aussi ce problème de suivi de trace. Au Clos du Roi, Roland s'éloignent tellement rapidement qu'on a l'impression qu'il a un moteur sur son VTT. C'est qu'il file le bougre, j'ai du mal à le raccrocher. Et puis la première cache m'oblige un premier arrêt. Les autres n'ont même pas vu que le VTT était en lisière de chemin. En plus le Gps m'indique l'opposé de la souche. Après être reparti, je retrouve Memel en difficulté dans une côte grasse. Ayant perdu un peu de temps, je décide de raccourcir mon parcours et filer directement vers le ravito. Ne voyant personne, j'en déduis que mes camarades sont déjà passés. Une première escale vaine à la Maison forestière pour une cache récalcitrante puis une deuxième pause au golf. C'est fois-ci l'indice se révèle très utile. Au moment où je replace la boîte, le quartet arrive. Roland en profite pour pointer à son tour. J'ai fait le plein pour cette partie du parcours, je peu de nouveau me consacrer uniquement à la rando. Mais à ETIOLLES, dans la sente, je ne vois pas le chemin qui remonte, et c'est le demi-tour. On traverse le Bois des Chevreaux pour retrouver les bords de Seine. c'est la partie extrême du parcours. Ce n'est pas tout, mais il faut remonter la côte de SOISY-SUR-SEINE pour retrouver la forêt et le Golf où Isabelle D. nous fait une demi chute. Le vélo d'un côté et le bonne femme de l'autre. Tous en selle car nous allons fermer le ravito si ça continue. Nous sommes les derniers. Les vivres s'épuisent. La partie roulante nous emmène jusqu'à la Faisanderie, puis nous sillonons les chemins envahis par les travaux forestiers. Ajouté au terrain trempé par endroit, c'est un peu difficile d'avancer. Mais la traversée se fait sans encombre jusqu'à ce que Eric chute au passage de la barrière au carrefour du Cormier. Roland en profite pour regonfler à nouveau son pneu arrière. La traversée de la RN6 à BRUNOY indique que nous en avons fini avec la partie ouest Forêt de Sénart. Mais aussi que le dénivelé va commencer à poindre le bout de son nez. Mais avant ça, il faut qu'on s'arrête au 3ème ravito au Gord. J'en profite pour aller chercher un nano magnétique. C'est qu'il fallait avoir l'oeil sous le pont pour trouver cette boîte d'un centimètre de diamètre et pas plus haute. le temps que je remette tout en place, les autres sont partis. Mais heureusement que le tracé longe l'Yerres, ça me permet de les rattrapper à la passerelle d'EPINAY-SOUS-SENART. Les organisateurs nous ont trouvé une sente avec le vide à droite qui se termine par une descente coupée par une épingle. Et dans cette descente, Eric accroche le grillage, ce qui occasionne un peu de remise en état du VTT. La dernière difficulté vient avec la montée caillouteuse dans le bois de Rochopt et surtout la descente grasse le long des marches. Retour dans la vallée jusqu'au parc de BOUSSY-SAINT ANTOINE, où je fait une dernière escale pour une cache. Retour dans la partie est de Sénart avant de retrouver le tunnel annonciateur de la fin. Tirage au sort, tout le monde a gagné le même lot. Je confirme à un organisateur que c'était bien la troisième édition de la Track'nart et non la deuxième. Il est venu le temps de se quitter car il me reste encore 18 kilomètres à parcourir en prenant le chemin sensiblement similaire à celui de l'aller. A SOISY-SUR-SEINE, je ne peux pas aller chercher la boite au bas de la descente car il y a du monde. Alors je file sur l'autre versant de la Seine. Je traverse EVRY autrement que ce matin pour arriver à la piscine de LISSES. Le panneau BONDOUFLE m'annonce que j'en ai fini de cette matinée VTT qui a débordé sur l'après-midi avec 7 heures 48 de randonnée, 101 kilomètres et 5 caches trouvées
	Kilomètre Kilomètre 22.5, erreur successives de parcours. Kilomètre 36.4, erreur de parcours. Kilomètre 44.7, chute d'Isabelle D. Kilomètre 61.4, chute de Eric au passage de la barrière.
	Le trajet aller fait 18.4 kilomètres La randonnée fait 63.9 kilomètres Le trajet retour fait 18.6 kilomètres Distance totale = 100.9 kilomètres		604 mètres
	Le terrain gras mais roulant. Nombreuses portions flaques d'eau.		Ravito au kilomètre 18.4, 32.5, 48.3, 67.3 et 82.3
	Ciel bleu		06 degrés au début de la sortie 15 degrés au retour