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Ce matin, j'ai décidé d'aller à la rando "Entre Ecole et Essonne" à VTT. Mais bien sûr, le couac au dépar est que la réparation de la semaine dernière n'a pas tenu. Efin presque, car le pneu est légèrement dégonflé. Un regonflage sera suffisant avant de prendre les chemins. Le jour n'est pas encore levé lorsque je m'élance. Je rectifie, le jour n'est pas encore levé en ville car une fois avoir passé le tunnel sous la rocade, les lumières ne sont plus utiles. Je rattrappe la Vanne qui va m'amener jusqu'aux petits ponts d'ORMOY. La seule difficulté du trajet est la côte pour arriver au croisement avec la D191. Le contournement de la zone m'amène sur la première cache. J'ai beau chercher, je ne trouve pas la boîte. Ce n'est pas grave, je retenterai ma chance au retour. Au départ, je suis parmi les premiers à m'inscrire. J'ai choisi 35 kilomètres, car ce midi je suis attendu sur le stand du cyclotourisme à la fête des associations de BONDOUFLE. Comme j'ai eu le temps de chauffer les muscles, la descente des laveuses puis le passage de l'écluse se font sans forcer. Au stade de SAINTRY-SUR-SEINE, je rentre dans le sous-bois avec ses chemins humides mais pas trempés. ce qui me permet d'avancer sans problème jusqu'au Four à chaux. là une deuxième cache se laisse découvrir facilement. C'est tout bénéfice car je n'ai pas perdu trop de temps. Et seulement 4 participants m'ont doublé. Ensuite vient une variante de la Nocture du gardien qui nous ramène au carrefour du Dauphin. Là une cache ne se laisse pas débusquer et bredouille je continue la rando. En arrivant aux environs de la statue du gardien, je suis surpris de ne pas aller la voir. En plus mon regard est absorbé par la remorque en travers du chemin, que je ne vois pas la rubalise. Un peu plus loin, une ornière m'éjecte. Arrivé à l'intersection, l'absence de fléchage me fait continuer jusqu'à la D446. Je passe les deux feux tricolores de NANDY à la recherche de flèches vertes au sol. C'est en apercevant un groupe de vététistes sortir de la nouvelle zone pavillonnaire que je comprends que je me suis vraiment écarté. il ne me reste plus qu'à les suivre jusqu'à la D82 où je pensais qu'il y avait une cache. Mais la recherche est vaine car c'était à l'entrée du centre d'écoute de BOISSISE-LA-BERTRAND qu'il fallait que je scrute les lieux. Pas de temps car l'heure tourne et je ne suis aps encore passé au ravito des "lapins crétins". C'est ici que je rebrousse chemin pour retrouver le chemin qui longe la Seine. Avec ses arbres couchés et la zone callouitteuse qui se passe beaucoup de nuit. La petite plage qui se présente au détour d'un virage me fais penser à une pause photo humoristique. "Par ici la baignade" qu'ils avaient signalé au début du chemin. La station d'épuration annonce la fin de la partie boisée. C'est par la route qu'il faut rejoindre depuis l'effondrement de la montée du Pavillon en 2015. Mais vu l'heure je préfère zapper la remontée du gouffre et rejoindre MORSANG-SUR-ORGE via le bitume. Il ne reste plus qu'à repasser l'écluse et escalader la côte des laveuses. J'avale mon sandwich et je repars vers la maison en cherchant deux caches "RN7" en vain. Mais je m'arrête à nouveau à la cache située juste avant l'autoroute pour la valider. Il ne me reste plus qu'à reprendre le chemin du retour à l'exception de la côte deVILLOISON. A BONDOUFLE, je vais retrouver Christelle, Roland et Jean-Mi qui ont installer le stand. Je rentre à la maison pour me préparer pour cet après-midi. | |||
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Kilomètre 0, regonflage roue avant pour Loulou
Kilomètre 24.3, erreur de parcours. Kilomètre 24.7, chute pour Loulou. Kilomètre 41.2, raccourcissement du parcours. |
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La randonnée fait 33.9 kilomètres
Le parcours de l'aller fait 12.9 kilomètres Le parcours retour fait 14.3 kilomètres Distance totale = 61.1 kilomètres. |
476 mètres |
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Le terrain roulant.
Nombreuses portions flaques d'eau. |
Ravitos au kilomètre 12.9, 33.2 et 46.8
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Ciel brumeux
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9 degrés au début de la sortie
18 degrés au retour
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