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OLONNE-SUR-MER (85) |
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Ce matin, pas de randonnées organisées au calendrier, alors j'improvise une sortie vers le Sud. En fait, je vais aller repérer un parcours pour faire une sortie pique-nique la semaine prochaine. Alors le dabut n'est pas une surprise en traversant la forêt puis la piste cyclable jusqu'à La Conge. Mais là je vais récupérer l'autre piste qui ramène au rond-point de Chateau-vieux. La rocade de SAINT-HILAIRE-DE-RIEZ m'emène jusqu'à la caserne des pompiers. Mais au rond-point du Casino, j'emprunte le chemin qui longe la D38B. Au cinéma je continue jusqu'au funérarium. Et c'est là que je constate qu'il en existe deux sur 1 kilomètre. La traversée du parking du Centre Leclerc m'amène dans la verdure jusqu'à La Jalonnière avec la traversée de la Zone Industrielle de la Bégaudière. Puis le retour au vert est interrompu par la zone pavillonnaire de GIVRAND. A La Frillonnière, je suis le balisage vers Brétignolles. Pendant ma pause dans le champ de tournesol, je me suis fait doublé par des vététistes. Et à peine arrivé à La Cantinière, j'en ai déjà rattrappé un, puis les autres juste avant ma bifurcation vers LANDEVIEILLE. Après, c'est la Fosse aux gendarmes, la dernière zone du dénivelé du parcours aller. Maintenant c'est le marais qui m'attend, mais aussi le vent. C'est aussi ici que commence mon repérage pour la sortie pique-nique. Les touristes découvrent aussi l'espace salin à l'heure rythme. Je quitte CHAMPCLOU sur le chemin du retour et à la hauteur de la Haute Loubry, je m'accroche à un groupe de vététistes qui roulent bien voir même très bien. Ca me permet de me remettre en rythme car je flémmardais au soleil. Mais la Quenouillerie, je les quitte pour repartir dans le marais. Cette partie là est un peu moins roulante, mais c'est aussi le chemin du retour des vététistes que j'ai croisé du côté de VAIRE. A peine sorti du marais, je tombe nez à nez avec un groupe d'anglais en balade. Je m'arrête mais ça surprend celui qui est derrière moi. "Pourquoi t'arrêtes-tu ?" En réponse il a "Vaut vieux s'arrêter que de perdre du temps à croiser le groupe sur ce chemin étroit". D'ailleurs pour lui, ça sent la fatigue car au moment où je déguste ma barre céréale, même en danseuse, il est à l'arrêt sur la petite bosse de la Chesnaie. J'en profite donc pour le doubler et reprendre mon rythme de croisière car le temps tourne et je ne suis pas encore arrivé. Surtout que la corniche de BREM à BRETIGNOLLES-SUR-MER est beaucoup fréquentée. J'espère que ça ne vas pas être comme ça jusqu'à la maison. Mais le long de GIVRAND, la foule a disparue. Il n'y a que la traversée du pont de SAINT-GILLES-CROIX-DE-VIE où je suis obligé de rappeler que la bande verte est faite pour les vélos. Mais les gens comprennent vite lorsqu'ils sentent les cornes froler les coudes. Dans l'ascension de la dicothèque je monte à la même vitesse que les voitures. Mais au sommet, je reprend la piste car elle est dégagée contraierement à la route avec ses ralentisseurs. J'arrive à SION en avance sur les voitures qui me précédaient dans la côte. Le contournement des 54 pineaux est très fréquenté par les piétons et je perds un peu de temps. Mais la piste de la forêt étant dégagée, je me mets en position aérodynamique et sur la plaque. Les voitures ne vont guère plus vite. Je suis déjà de retour à La Conge. Encore un bout de piste jusqu'aux Becs où je reprends la direction de La Caillauderie. Et les gravillons de la résidence annoncent mon arrivée. |
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Rien à signaler
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100.12 kilomètres.
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516 mètres.
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Le terrain roulant.
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Pas de ravito
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Ciel bleu
Vent d'Ouest 10km/h dans le marais |
18 degrés au début de la sortie
25 degrés au retour
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