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COEX (85) |
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Ce matin, c'est au tour de jean-Mi de venir me chercher à la maison. Au programme un pu plus de chemins, mais il va falloir avaler des kilomètres. Après la traversée de la Forêt de Saint-Jean-de-Monts et le contournement d'OROUET, nous arrivons sur LA FRADINIERE. Aux Plantes, un chemin marqué sur la carte mais absent sur le terrain nous oblige à faire un peu de recherche. Finalement le chemin est planqué dans une propriété derrière un grillage. Un détour s'impose pour retrouver la direction de NOTRE-DAME-DE-RIEZ. Mais à la Grande Martinière, nous sommes confronter à une corde tirée en travers du chemin. Après le contournement du potelet, nous longeons le champ de maïs jusqu'à sa sortie pour retrouver le chemin. C'est une zone de lisier que nous venons de traverser car les mouches me tournent autour et ça ne sent pas la rose. Il faudra un peu de bitume pour nettoyer les crampons. Prochaine étape COMMEQUIERS. mais au centre ville, je n'ai pas regardé le Gps et résultat des comptes. Nous sommes obligés de faire demi-tour. Sauf qu'aujourdhui le demi-tour est interdit, et nous sillonnons la zone pavillonnaire pour trouver une sortie et retomber sur le parcours. La montée vers SAINT-MAIXENT se fait sans trop forcer. La traversée des Grandes Métairies surprend car le tracé passe au milieu de la ferme. Aux Achats, c'est la première fois que la bruine nous oblige à nous abriter le temps que ça se passe. Le chemin est tellement roulant qu'on s'en aperçoit que trop tard en traversant la cour de la ferme de La Marcelinière. Après La Joubretière, le chemin descend vers le ruisseau de la Filatoire. Le paysan en profite pour arroser son champ de tournesol. Bien sûr les dommages collatéraux causés par le vent fait que le chemin est trempé. Le maillot se trouve maculé de taches terreuses. Nous venons à peine de contourner L'AIGUILLON-SUR-VIE à la hauteur de La Grève que le crachin nous oblige une deuxième fois à s'arrêter. Comme il n'y a pas d'abri, nous enfilons le Kway. A la Cantinière, le temps s'est asséché et nous pouvons retirer la protection contre la pluie. Normal, nous nous rapprochons de BRETIGNOLLES-SUR-MER et le ciel en profite pour bleuir. A LA SAUZAIE, nous retrouvons la piste cyclable que nous abandonnons un cours instant pour un secteur ludique en sous-bois. A GIVRAND, ne voulant pas suivre la piste cyclable, nous tricotons dans la zone pavillonnaire. Et la surprise survient lorsque je reconnaît Jérôme un collègue qui s'occupe de son jardin. Une courte paus pour échanger quelques mots et nous voilà repartis vers SAINT-GILLES-CROIX-DE-VIE par le chemin des écoliers mais aussi avec le vent dans le nez. C'est bizarre il a tourné. La traversée de la ville se fait avec un client pour la dans le rétro. Mais arrivé aux feux tricolores, le seul sur la corniche, je ne vois plus personne. Ce n'est qu'à Boivinet que je retrouve Jean-Mi qui a du s'arrêter aux feux. Finalement le client a pris un autre chemin. C'est sans surprise que je passe en tête au sommet de la corniche. Non pas parce que jean-Mi préserve son épaule, mais parce qu'il n'a plus de jus dans les cuisses. Jean-Mi joue du sifflet pour m'ouvrir la route jusqu'à SION. Puis la longue ligne droite jusqu'au camping semble interminable pour Jean-Mi. Pourtant le compteur oscille entre 27 et 32 km/h. Après un dernière pause désaltérante, je rentre à la maison par le chemin le plus direct. Nous sommes prêts pour la semaine prochaine notre liaison resto aux Sables. |
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Kilomètre 27, erreur de parcours.
Kilomètre 66.5, erreur de parcours. |
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93.8 kilomètres.
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525 mètres.
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Le terrain roulant.
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Pas de ravito
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Ciel bleu
Pluie fine en milieu de matinée Vent de Sud-Ouest |
22 degrés au début de la sortie
27 degrés au retour
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