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BOISSY-LE-CHÂTEL (77) |
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Ce matin les techniciens sont partis à MAISSE, enfin je suppose car à 7h00, il y a pas un chat au rendez-vous. J'ai choisi une toute autre destination en mettant le cap au Nord-Est. Le club de Pommeuse-Boissy organise sa première randonnée, alors c'est l'occasion d'aller découvrir les paysages proposés. Et en plus, ça fait vivre les petites randonnées qui ne sont pas encore connues. On ne peut pas rêver meilleur emplacement pour ce garer. juste devant les barnum des inscriptions. Alors avant de partir, plusieurs recommandations sont dites aux participants. La première consiste par une possibilité d'éviter une portion détériorée. La seconde nous invite à ne pas traverser les gués. Après avoir écouter ces conseils, je m'élance tout doucement. Je ne sais pas ce que j'ai ce matin, j'ai du mal à me mettre en route. Peut-être le temps ! Au quatrième kilomètre, l'option évitement se présente mais je continue. Mais arrivé le long du Bois Louis, les ornières gorgées d'eau se présentent. Le terrain trempé occasionne de belles figures. Puis le tracé se transforme en ravine caillouteuse pour rejoindre le Ru des Avenelles. Je descends avec sagesse, laissant passer d'autres participants plus habiles. le premier gué se présente pour franchir le Ru de l'Orgeval. passant outre le deuxième conseil, je suis venu pour ça, alors je traverse. Au débouché du Bois de Champauger, se présente COULOMMIERS sous la grisaille. Ayant oublié de remettre le compteur à zéro, je ne sais pas où j'en suis. après avoir passé PONTMOULIN, le terrain devient roulant et je commence à me mettre dans le rythme en repassant les participants du 37km. Aux bordes, c'est le premier ravito. J'en profite pour connaitre la distance parcouru. l'un des ravitailleur m'annonce 20km. Finalement, je n'ai pas trop flémmardé. Normalement, la suite est roulante donc je vais pouvoir conserver le rythme en solitaire. Le tracé alterne les chemins et les portions gazonnées. le long du bois de Beaumarchais, une pancarte nous invite à faire un détour pour découvrir un ménhir. Mais elle narre aussi la légende de la pierre de Sainte Flodoberthe qui se trouve le long du chemin une fois rentré dans le Bois. Je n'ai pas laissé passer cette opportunité de compléter mes connaissances mégalithiques. Pour traverser l'Aubetin une simple poutre en béton est jetée au dessus du cours d'eau. J'arrive au Charnois et je ne fais pas attention au fléchage. Au bout du chemin, plus rien. Ah si une biche surprise de me voir débouler. Après un demi-tour, je retrouve le tracé. Et je double les participants qui ont profité de mon erreur pour me passer devant. Le tracé traverse de magnifiques hameau depuis ce matin pour arriver à AMILLIS. Je fais une pause photo devant Sainte Foloberthe qui a pignon sur rue. Au moment où je remballe mon appareil photo, un participant habillé et mu par KTM passe devant moi. Je prends son sillage sans pouvoir lui coller à la roue. Mais c'est qu'il roule bien, alors je décide de la garder en mire sur le GR14 et de m'en rapprocher tranquillment. La jonction s'opère au moment de passer le gué pour la traversée de l'Aubetin. Merci Pascal pour la "lièvre attitude". Nous arrivons ensemble au 2ème ravito situé à 300 mètres de là. On retrouve une participante qui partie en même temps que moi. Occupé à discuter, je les laisse partir. A la Commanderie, je rattrape la femme, mais je ne me fais pas de soucis car je ne rattraperais jamais Pascal. Surtout que dans le Bois de Chevru, je m'arrête pour aider deux participants. Finalement je n'ai pas eu à sortir mon démonte pneu car ils ont réussi sans outillage. Evidemment en sous bois les ornières sont grasses mais ça passe. De nouveau à découvert, je passe pour la première fois de la matinée le 46 dents. A MAROLLES-EN-BRIE, je m'accorde un petit détour pour aller voir le château qu'on devine au fond de la vallée. Au compteur il reste approximativement 9 kilomètres, alors c'est reparti avec une légère bruine qui me me brouille la vue. Surtout que le tracé n'est plus droit sur des grandes distances et qu'il faut bien regarder le fléchage qui indique les changement de direction. A LA BRETONNIERE, j'aperçois le clocher de l'église qui m'indique que l'arrivée est proche. Il ne reste plus qu'à remonter sur l'autre flanc de la vallée du Grand-Morin et doubler quelques participants à pied à cause des crampes. Au tirage au sort, je n'ai rien gagné, mais chaque participant à droit à un super sandwich. Presqu'une demi-baguette par personne. Finalement, je ne regrette pas d'avoir participé à cette rando, car ceux qui on été à MAISSE n'ont eu droit qu'à un sixième de baguette pour le même prix et de la pluie toute la matinée. | |||
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Kilomètre 24.6, détour touristique.
Kilomètre 27.7, erreur de parcours. Kilomètre 41.3, assistance à participants. Kilomètre 47.5, détour touristique. |
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56.5 kilomètres.
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631 mètres.
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Le terrain est humide mais roulant.
Passages à gué. Quelques portions boueuses. |
Ravitos aux kilomètres 19.5 et 37.3.
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Ciel blanc
Bruine sur la fin du parcours. |
14 degrés au début de la sortie
14 degrés au retour
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