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Aujourd'hui, c'est la journée cohésion pour les collègues d'Etampes. Et je suis accompagnateurs des volontaires VTT. Ce matin, j'enfourche mon VTT à 7h15 pour me rendre à SAINT-CHERON. J'en profite pour passer dans la nouvelle zone pavillonnaire qui sera un futur raccourci, si la commune ne change rien aux accès à la ville. La sortie est un peu difficile avec le festival "Download". L'accès sur le CD31 est déjà blindé de bagnoles qui ont passé la nuit garées le long de la clôture. Après le rond-point ça ira mieux. Enfin je pensais, mais avec l'orage qu'il y a eu à 5h00 du matin, le chemin ressemble à une piscine. J'imagine les chemins qu'il reste à sillonner. Arrivé devant l'entrée de l'ancien Centre d'Essai en Vol, les toiles de tentes sont plantées sur l'herbe. Encore des fans de musique "métal" qui attende l'ouverture du site. Mon énnemi jusqu'à EGLY est le vent de face. De l'autre côté de la RN20, je pensais coupé au plus court mais le chemin n'existe plus. C'est donc par la route que je rejoins SAINT-YON. La bosse qui rejoint BREUX est détrempée et provoque de belle figure dans la descente. Il ne me reste plus qu'à traverser le Bois du Boulay pour arriver au stade éponyme avec un peu d'avance sur l'horaire de départ. Le temps que tout le monde arrive, il est 9h10 lorsque pandore emmène le groupe de 10 vététistes. Pour une fois je fais le serre-file. Et 2 kilomètres plus loin, le premier arrêt est provoqué par un collègue qui s'est asphyxié dans la montée. Le temps de reprendre ses esprits, le reste du groupe revient sur nous. Et c'est à une allure de limace que nous fermons la marche, Pandore gérant les autres. Et sur ce rythme que le groupe va progresser jusqu'au Château du MARAIS. Mais dans la descente, mon frein arrière emet un bruit de ferraille. je pense qu'il va être temps de changer les plaquettes. Mais j'ai la flemme de regarder, alors ce sera sans le frein arrière que la rando se fera. Le Chemin de Châtres est relativement roulant. Juste avant l'entrée sous le double tunnel A10/TGV, il y a la traditionnelle flaque d'eau. Après avoir prévenu mes camarades "Ca va mouiller" je me lance dans la traversée. Avec l'élan, les gerbes viennent m'innonder le casque et les lunettes. Dommage que la température ne soit pas plus élevé car le maillot mouillé aurait été très rafraichissant. La forêt d'ANGERVILLIERS est elle aussi roulante excepté le marécage de l'étang de la Baleine. La tourbière favorise les belle ornières remplies d'eau. BAJOLET annonce la fin de la galère. Le parcours nous ramène à proximité du MARAIS après un passage au centre equestre des Bruyères. A la fin de la côte d'ARDENELLES, le yoyo n'existe plus puisque Pandore rentre sans m'attendre. Eric S. est victime d'une crampe, nous prenons encore une pénalité par rapport au groupe. Les pavés de la voie romaine annoncent la fin de la rando. Il ne nous reste plus que la traversée de LA TUILERIE à effectuer. Nous arrivons pour l'apéro. Le repas barbecue suit et s'éternise. Il est 15h30, lorsque je renfile le casque pour partir sur mon itinéraire du retour. Je me suis donné comme guide la rivière la Rémarde puis l'Orge avec tous ses plans d'eau. Je retrouve l'Orge à la sortie de ARPAJON. J'en profite pour voir s'il n'y a pas d'autre possibilité au Moulin de Fourcon. Au Moulin d'Aulnay, le virage dangereux a cédé la place à une belle aire de pique-nique. Me voilà déjà aux Lac de Carrouges. Il ne me reste plus qu'à prendre la piste cyclable jusqu'à la maison. Mais à la Croix blanche, un tas de terre sablonneuse entrave le passage. Bizarre car il n'y a pas de panneau. Mais c'est en arrivant à l'échangeur que je tombe à nouveau sur un tas de terre. les portions situées dans l'échangeur sont elles aussi recouvertes. A la sortie, on trouve de nouveau un monticule de terre, mais cette fois-ci alerté par un panneau d'interdiction à tous véhicule. "Cette fois-ci, c'est officiel, l'ancienne piste cyclable qui longe la francilienne a disparu. Il faudra dorénavant prendre la piste qui sillonne dans la croix blanche. Le problème est que je suis obligé de continuer sur cet itinéraire ne prférant pas rouler sur la 4 voies. Je ressort de la zone avec un VTT lesté de quelques kilos qui vont disparaître avant que j'arrive à la maison. Là, je vérifie mes plaquettes, et les remplace aussitôt. Car je freinait feraille contre feraille, usant prématurément le disque par la même occasion. le VTT est donc prêt pour la nocturne de demain.
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