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SOURDUN (77) |
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Ce matin,je suis le seul bondouflois à représenter les couleurs du club. Les inscriptions se font directement dans la salle des mariage. Décidemment le passage dans la mairie est une mode. Je retrouve la horde des Renard'Yerres venu en nombre. A l'accueil, on nous explique qu'avec l'appli Strava, on pourra suivre les temps scratch sur les segments chronométrés. Pour ma part, je ne la lance pas car je ne vais pas me mettre dans le rouge pour faire un temps. J'ai quand même insérer la trace Gpx du parcours. On ne sait jamais. bon je vais éviter de rester devant le buffet du petit déjeuner, sinon il n'y aura plusde chouquettes et ni de gâteau au chocolat. Il faut être attentif sur les premiers tours de roue, car le fléchage vert fluo au sol ne se voit pas beaucoup. Vu mon numéro de plaque et l'heure à laquelle je suis parti, je ne vais pas voir grand monde. En plus de ça les séparations avec les deux autres parcours se font après cinq kilomètres. Le paysage est vallonné et au débouché d'une bosse j'aperçois la centrale nucléaire de NOGENT-SUR-SEINE. je vais presque pouvoir mettre un crampon dans l'Aube. Mais les organisateurs me disent que la frontière est à trois kilomètres. C'est aussi le moment où le soleil me passe dans le dos pour une portion roulante à travers les champs de colza. Avec mon maillot du Codep, la photographe est surprise. Au kilomètre18.3, un panneau annonce le segment chonométré. C'est une montée à 17% dès le départ. Je lance mon chrono avant de m'élancer. Et oui, finalement, je me suis pris au jeu. Le panneau de fin se situe 400 mètres. Un faux plat pour reprendre son souffle et le ravito est déjà là. Les ravitailleuses sont sagement assises sur le banc à attendre. Le temps de la pause, je n'ai vu que trois participants qui vont me redoubler un peu plus loin car je me suis arrêter pour faire la cueillette du muguet. J'ai aimé l'humour de mettre la pancarte "descente dangereuse" au bas de la pente. Au fond du Ravin de la Bourjasse, le terrain est un peu plus humide, il n'en faudrait guère plus pour trouver de la boue. Sorti des sous-bois le parcours est roulant et une fois avoir passé le Veillien, le 45km part à droite sur une côte avec racines et cailloux qu'il faut passer sans élan car l'épingle était mal indiquée. dans la montée, j'avait l'impression d'être à l'arrêt lorsque je me suis fait dépassé. Presque à la sortie du Bois des Renards, je suis doublé par un gars des renard'yerres se plaignant de côtes cassées suite à une chûte. Apparement, son mal ne l'arrête pas puisqu'il monte la côte d'une main. J'ai même du mal à le suivre dans la descente. Kilomètre 32, deuxième segment chroniométré. Toujours une côte moins prononcée avec une pointe à 13% mais jonchée de caillasses. par contre, au sommet, il n'y a pas de panneau. En supposant que le point de contrôle se situait 500 mètres plus loin, mon chrono indiquerait 5'55". Le parcours redevient roulant. Enfn presque ! puisque le vent s'invite. Je suis rattrapper par Didier H., le président des Renard'Yerres que je dévente au moment où il prend l'aspiration. dans le secteur du haut du gratte chien, j'enclenche le turbo (46x11), 50km/h avant de tourner vers VILLECENDRIER et retrouver le vent de face. Le clocher est en vue. Encore un petit effort avant de retrouver les chouquettes et le sandwich, le tout dans le désordre. Pour le fun, je regarde les temps chronométrés, le premier à mis 1'54" contrairement à mes 3'45". Je comprends mieux pourquoi en constatnt que c'est le même qui m'a doublé dans la montée du Veillien. Je ne regrette pas d'avoir mis cette rando au programme qui a pu me faire découvrir d'autres paysages. | |||
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Auncun incident à signaler
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42.1 kilomètres.
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756 mètres.
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Le terrain est roulant.
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Ravitos aux kilomètres 20.5.
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Ciel bleu.
Légèrement nuageux Vent 25km/h sur la fin |
07 degrés au début de la sortie
20 degrés au retour
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