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Ce matin, je m'en vais retrouver jean-mi et Guën pour une balade tranquille. Mais auparavant, il faut que je remplace ma chambre à air, car mon pneu arrière est encore crevé. Ce doit être la rustine qui n'a pas tenu. C'est finalement avec 20 minutes de retrad que je m'engage par la forêt. Les vacanciers ou plutôt ce qui sont restés ne sont pas encore réveillés. Ce qui laisse les pistes libres. Enfin je le pensais. Car sur la rocade de SAINT-HILAIRE-DE-RIEZ, je tombe nez à nez avec deux troupeaux de cyclotouristes sur toute la largeur de la voie cyclable. Les premiers de chaque groupe ont eu beau siganler aux autres de se serrer, les deuxième parties étaient trop occupés à discuter. Ce qui fait que j'ai était obligé de maintenir ma trajectoire pour qu'ils s'écartent. Il ne me reste plus que la portion ventée avant d'arriver pile à l'heure au camping. Une belle moyenne malgré les travaux. Le tracé prévu commence par remonter la côte des Vallées. Pour la rendre moins diffcile, nous la prenons par la forêt. Comme le toubib a dit que Jean-Mi avait droit à de la balade non cassante, c'est par du bitume que nous commençons jusqu'à NOTRE-DAME-DE-RIEZ. Puis pour éviter de longer le Ligneron, secteur qui tabasse, nous repartons vers LE PISSOT jusqu'au Guittard. Nous traversons une seconde fois la D69 pour sillonner le SOULLANDEAU. Mais depuis un bon bout de chemin, Guën a du mal a suivre. Un problème d'assistance qui est réglé avant de traverser une nouvelle fois la D69. Mais de l'autre côté la panne se manifeste à nouveau. Il faut employer les grands moyens. C'est le connecteur qui est mort. Alors un bout de ruban électrique pour solidariser l'ensemble et ça devrait rouler. Et c'est le cas, sauf qu'il n'y a plus de "Level2". Nous sommes obligés de rouler au "niveau 3", et donc la vitesse se voit croître. Le seul souci est que la jauge électrique n'a rien enregistré et que l'inquiétude de ne pas terminer la sortie est bien présente. On quitte les petits chemins des marais pour retrouver la piste qui longe la D753. une petite incursion en centre ville pour la pause désaltérante traditionnelle sur les sorties. Un dernier passage sur le front de mer avant de se séparer et se donner rendez-vous à jeudi. Moi je suis bientôt arrivé. Guën et Jean-Mi doivent parcourir le chemin que j'ai fait ce matin en solo.
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